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Mia Thompson | J'aurais voulu être un artiste ♦ TERMINÉ

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MessageSujet: Mia Thompson | J'aurais voulu être un artiste ♦ TERMINÉ Mia Thompson | J'aurais voulu être un artiste   ♦ TERMINÉ EmptyVen 24 Juin - 22:25


Mia Thompson
18 ans ∞ Palo Alto, CA ∞ Américaine ∞ 1ère année, cursus artistique ∞ En couple ∞ Victoria Justice

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How I made a mess of my life
18 ans, 1m65, mince, brune aux yeux marron… Tout cela peut sembler très banal. Je ne prétends pas être particulièrement originale non plus. Après tout, j’ai grandi dans une famille, tout ce qu’il y a de plus classique... ou presque.

Il y a quelques années, alors que j’avais 14 ans, je suis tombée sur une vieille photo de ma mère allongée – sans aucun doute dans un lit d’hôpital – avec un bébé dans les bras. J’ai d’abord pensé qu’il s’agissait de moi, juste après ma naissance. En retournant la photo, j’ai pu voir une date inscrite au verso. Le 6 juin 1994. Non, ce n’est pas possible. Je suis née pratiquement quatre ans plus tard ! En regardant la photo de plus près je me suis rendue compte que ma mère faisait quand même extrêmement jeune. J’ai fini par aller la voir et lui ai montré la photo. Elle a d’abord été décontenancée. Elle ne s’attendait pas à ce que je trouve cette photo. Puis, cherchant ses mots, elle a fini par me dire la vérité.

J’ai une sœur aînée, que je n’ai jamais connue. Le 6 juin 1994 correspond au jour de sa naissance. Ma mère est malencontreusement tombée enceinte lors de sa dernière année au lycée. Alors âgée de 17 ans, elle a préféré cacher la vérité à ses parents. Bien entendu, sa mère a fini par s’en rendre compte, mais il était déjà trop tard pour avorter. Elle a donc mené sa grossesse jusqu’au bout et voulait garder l’enfant. Sa mère – ma grand-mère donc – l’a finalement convaincue de donner l’enfant à l’adoption. Elle a invoqué tout un tas de bonnes raisons. Ma mère était beaucoup trop jeune et terminait à peine le lycée ; mon père, lui, était plus âgé de seulement deux ans et était en deuxième année à l’université. Cela impliquait donc de renoncer à leurs études pour travailler le plus rapidement possible, tout en essayant de gagner suffisamment d’argent pour élever correctement l'enfant.

À l’époque, j’étais encore jeune et je ne voyais pas les choses de cette façon. J’en ai longtemps voulu à ma mère d’avoir abandonné ma sœur. Mon père, lui, n’avait pas vraiment eu son mot à dire, mais le choix de ma mère a quand même eu des répercussions sur leur relation, à cette époque. Pour ma part, j’ai eu beau savoir que c’était le choix le plus logique, j’avais du mal à comprendre cette décision et à l’accepter. Je me disais qu’il existait forcément d’autres solutions et que mes parents auraient très bien pu garder l’enfant à l’époque.

Avec le temps, j’ai fini par me dire que ce n’était pas vraiment de la faute de ma mère. Elle était encore jeune et avait été très influencée par sa mère qui lui aurait coupé les vivres. J’ai aussi compris qu’elle s’en voulait terriblement d’avoir fait ça. Elle gardait cette photo près d’elle, comme souvenir – le seul souvenir qu’il lui reste de sa première-née.

C’est pour cela que lorsqu’elle est tombée enceinte la deuxième fois, quelques années plus tard, mes parents ont décidé de garder l’enfant. À l’époque mon père venait de finir ses études de droit et travaillait déjà. Ma mère était encore à l’université mais vivait avec lui. Mon père gagnant déjà bien sa vie, leur situation était bien plus stable. En apprenant la nouvelle, ma mère a décidé de ne plus faire la même erreur. Elle a mené sa grossesse jusqu’au bout et a finalement accouché le 16 avril 1998. C’est comme ça que je suis née.

Lors de mon enfance, je n’ai jamais souffert d’être née trop tôt. Je peux même dire que j’ai eu une enfance très heureuse. Je ne manquais de rien et je me suis toujours sentie épanouie et aimée dans ma famille. La seule chose qu’il me manquait, c’était une grande sœur, quelqu’un avec qui partager des choses.

À partir de l’adolescence, lorsque j’ai appris l’existence de ma sœur, j’ai commencé à mener mon enquête. Je me suis accrochée aux seules choses que je savais d’elle, qui étaient très limitées… J’ai fait énormément de recherches pour essayer de la retrouver. Bien sûr, sans succès. C’était comme chercher une aiguille dans une botte de foin. Les informations à ce sujet sont extrêmement confidentielles. Les parents adoptifs souhaitaient conserver l’anonymat pour lui permettre de vivre le plus normalement possible. Elle pourrait être n’importe où maintenant… J’ai fini par abandonner les recherches il y a deux ans, voyant qu’elles ne menaient à rien. Il m’arrive toujours de penser à elle, bien sûr, mais je commence à me dire qu’elle préférerait peut-être qu’on la laisse tranquille. C’est sans doute mieux comme ça. Vouloir la retrouver à tout prix, c’est sûrement égoïste de ma part.

Quoi qu’il en soit, j’ai eu une vie plutôt cool jusqu’à maintenant. Mes parents et moi avons vécu à Palo Alto, jusqu’à ce qu’ils décident de déménager, pour des raisons professionnelles. Ça fait maintenant 6 ans que je suis à Berkeley. Oui, la ville, pas l’Université… Vous vous doutez bien que je ne serais pas ici sinon.

En fait, j’ai toujours été passionnée par les arts. Cela me vient sans doute de ma mère. Un peu artiste dans l’âme, elle chante et joue souvent de la guitare. C’est d’ailleurs elle qui m’a appris à en jouer. Bon, je dois admettre que je ne suis pas vraiment bonne musicienne… Je préfère chanter. J'écoute énormément de musique et je chante souvent lorsque je suis seule. Parfois même devant les autres. La première fois j'avais un peu peur mais j'étais très contente de voir que ma voix plaisait réellement. J'ai toujours aimé ça : être regardée et admirée. J'étais même très populaire au lycée. Monter sur le devant de la scène me fait de moins en moins peur, désormais. Enfin... après quelques vodkas de préférence.

Malgré tous les encouragements de mes proches pour m'orienter vers la musique, mon plus grand rêve a toujours été de devenir actrice. Bon d'accord, "toujours" n'est peut-être pas le mot adéquat... Cette passion a commencé il y a seulement quelques années, alors que j'étais encore au collège. Mon professeur de littérature nous avaient initiés au théâtre. Nous devions interpréter Hamlet - ou du moins, une courte partie de cette pièce de Shakespeare. Pour moi, cet exercice a été une véritable révélation.

C'est pourquoi, arrivée au lycée j'ai décidé de continuer à faire du théâtre, et ce dans un but précis : parfaire mon jeu d'actrice et devenir plus tard une grande star hollywoodienne. A la limite, je me contenterais bien de quelques rôles secondaires, dans un premier temps.

Forcément, j’ai voulu tenter ma chance à Juilliard. Cette école d'arts new-yorkaise était devenue un rêve pour moi. Un rêve que je pensais réalisable et auquel je croyais de plus en plus. J’ai bien entendu envoyé mon dossier. Le jour où j’ai reçu l’enveloppe avec leur réponse, je me suis empressée de l’ouvrir, folle de joie. Je me suis vite calmée en voyant la réponse… Bien sûr, ils m’ont refusée. J’avais sans doute trop d’espoirs. En découvrant l’enveloppe, je ne m’étais pas imaginé une seule seconde qu’ils pourraient refuser mon dossier.

En y repensant, c’était pourtant évident. Entre les absences, les retards et mon manque de sérieux et d’attention en classe, j’admets que mon dossier n’était pas vraiment fameux… Pourtant, je pense que j’ai autant de qualités artistiques et de potentiel que n’importe qui d’autre ! Je ne pensais pas qu’une école de spectacle s’intéressait réellement aux résultats des élèves ! Je trouve ça aberrant… Autant vous dire que je suis tombée de bien haut.

Je ne suis pas une personne prévoyante. Je suis souvent en retard et mal organisée, à tout niveau. Idéaliste et un peu rêveuse, je m’imaginais déjà à Juilliard et je n’ai pas pris la peine de postuler ailleurs. Lorsque j’ai réalisé que mon rêve venait de s’écrouler et que j’ai voulu postuler dans d’autres universités, il était bien sûr trop tard et elles ont toutes refusé mon dossier sous prétexte que la date limite était largement dépassée… Je ne savais même pas qu’il y avait une date limite pour postuler dans ces universités !

De toute façon, les études pour moi, c’est secondaire – mis à part Juilliard bien sûr. Je ne comprends pas l’intérêt de passer son temps à étudier pour avoir de bonnes notes. Les notes, c’est pas ça qui rend heureux dans la vie. Je ne critique pas du tout ceux qui font des efforts et travaillent dur, mais je dis simplement que les cours, c’est pas vraiment mon truc. Je préfère profiter de la vie à fond. C’est pour ça que j’ai profité de mes années lycée au maximum. Au final, j’ai passé plus de temps cette année à sortir et participer aux soirées qu’à étudier.

C’est d’ailleurs lors de l’une de ces soirées que j’ai rencontré mon copain, Liam. J’avais 16 ans à l’époque et ça a pratiquement été le coup de foudre ce soir-là. On a commencé à sortir ensemble peu de temps après et ça fait maintenant un peu plus de deux ans que nous sommes en couple. J’avais déjà eu quelques rares relations auparavant, mais rien d’aussi sérieux. Liam est mon premier vrai petit-ami. Je ne dis pas que tout est toujours rose et parfait, mais je me sens bien avec lui. Je le considère comme mon petit-ami et mon ami.

Liam, lui, est beaucoup plus sérieux que moi. Pas du genre rat de bibliothèque, gare aux clichés ! Il sait quand même s’amuser de temps en temps ! Mais c’est vrai qu’il sort beaucoup moins souvent que moi et il est aussi bien plus posé, même s’il dit souvent qu’il apprécie ce petit grain de folie chez moi. Le contraste est assez marqué entre nous, mais je trouve qu’on se complète assez bien.

Il a toujours eu de grandes ambitions et un dossier presque irréprochable. C’est sans surprise qu’il a postulé dans trois des plus grandes universités américaines, qui font partie de l’Ivy League : Columbia, l’Université de Pennsylvanie et Cornell.

Nous avions un rêve, un peu fou peut-être, mais que nous pensions réalisable. Je devais intégrer Juilliard et lui Columbia. Nous aurions été juste à côté ! Nous aurions pu prendre un appartement et vivre ensemble. Nous aurions pu nous voir tous les soirs, et peut-être même les midis. Dans le cas, où il serait refusé, Liam avait préféré postuler aussi à l’Université de Pennsylvanie, qui est à seulement deux heures de route de New York. Nous aurions au moins pu nous voir les week-ends. Il a postulé à Cornell, qui se trouve tout de même à quatre heures de route de New-York, dans le cas où il ne serait pas pris ailleurs. Nous aurions au moins pu nous voir de temps en temps, peut-être toutes les deux semaines ou une fois par mois, je ne sais pas. Toujours très prudent et réfléchi, Liam avait décidé de postuler dans une autre université un peu moins cotée, à New-York.

Il a finalement été refusé à Columbia – on était peut-être un peu trop optimistes sur ce coup – et à l’Université de Pennsylvanie. Il a été placé sur liste d’attente pour Cornell. Quant à moi, comme vous le savez, j’ai été refusée à Juilliard et je n’avais postulé nulle part ailleurs.

Bien évidemment, nous avons tous les deux été très déçus. J’ai finalement reçu une lettre de la Monroe University, peu de temps après. L’université proposait différents cursus, dont un cursus artistique qu’on me proposait d’intégrer à la rentrée prochaine. Je n’ai jamais vraiment compris comment ils avaient pu avoir ces informations à mon sujet. Mais ça correspondait exactement à ce que je voulais faire. Plutôt que d’intégrer une quelconque université qui ne me plairait pas – et qui de toute façon ne voudrait probablement pas de moi – je me suis dit que c’était sans doute une opportunité à saisir.

J’en ai parlé avec Liam, qui a accepté de me suivre. Je sais que la Monroe University ne correspond pas vraiment à ses critères de base… Mais il n’avait pas eu de places dans l’Ivy League et quitte à rejoindre une université moins cotée, il préférait rester près de moi.

Alors que nous étions prêts à nous inscrire tous les deux à Monroe, Liam a reçu un appel. C’était l’Université Cornell qui lui annonçait que suite à plusieurs désistements il était finalement accepté chez eux. Mon premier réflexe en apprenant la nouvelle a bien évidemment été de sauter de joie et de le féliciter. Mon engouement pour son acceptation a rapidement disparu, lorsque j’ai réalisé qu’il allait partir à Cornell et que moi j’allais rester en Californie, à Sacramento. Ithaca, ce n’est pas la porte d’à côté… L’État de New-York est carrément à l’opposé de la Californie !

Je ne vous cache pas avoir été un peu déçue. Mais il aurait été injuste et égoïste de ma part d’obliger Liam à renoncer à son rêve. Après tout, ce n’est pas donné à tout le monde d’intégrer une école aussi réputée ! L’Ivy League, ce n’est pas rien. Je ne m’étais jamais vraiment imaginée dans une relation à distance. Mais il fallait que je m’y fasse. L’incroyable actrice que je suis n’a bien évidemment eu aucun mal à jouer la comédie. J’ai fait mon possible pour lui cacher mon appréhension et lui montrer à quel point j’étais heureuse pour lui.

Finalement, c’est lui qui a craqué. Liam m’a dit que Cornell ce n’était pas vraiment son rêve. Il voulait aller à Columbia et n’avait choisi Cornell que comme second choix – troisième, en fait. Il voulait voir s’il était capable d’être admis dans une université de l’Ivy League, simplement par défi envers lui-même, et qu’il était content d’avoir réussi, mais qu’à présent il ne voyait pas y aller. Il m’a dit qu’il trouvait les frais d’université bien trop élevés et qu’il ne se voyait pas aller à Ithaca sans moi. Contrairement à moi, Liam a toujours été un très mauvais comédien. J’ai tout de suite remarqué qu’il mentait. Bien sûr qu’il voulait aller à Cornell ! Et avec son dossier et les aides qu’il aurait eues, les frais de scolarité n’auraient pas été si élevés.

Il a finalement rappelé Cornell pour se désister, malgré mes tentatives désespérées pour le convaincre d’y aller. Il ne fait aucun doute que la véritable raison de ce refus, c’est moi, même si Liam prétend le contraire. Il est bien moins idéaliste que moi et bien plus terre-à-terre. Il devait déjà s’imaginer la fin de notre couple. Je sais que ça n’aurait pas été facile, mais je pense qu’on aurait au moins pu tenter une relation à distance. Abandonner Cornell simplement pour être avec moi, cela vaut-il réellement le coup ?

Bien sûr, je devrais être flattée qu’il ait préféré rester avec moi. Je devrais surtout me sentir heureuse d’aller dans la même université que lui. Mais… je ne sais pas. Quelque part, je ne peux pas m’empêcher d’y penser et de culpabiliser. Je m’en veux de le laisser renoncer à une université aussi prestigieuse. Il a beau agir comme si tout allait pour le mieux, je sais très bien que c’est de ma faute. Sans moi, il ne serait jamais venu s’enterrer dans une université de seconde zone.

Bien sûr, il est trop tard. Liam a déjà renoncé à Cornell et il est trop tard pour revenir sur sa décision. Son choix est fait et nous sommes tous les deux inscrits à Monroe. J’espère que tout se passera pour le mieux. J’ai décidé de me rattraper cette année et de montrer à Liam que je peux m’intégrer à l’université. Comme ça, il n’aura pas l’impression d’avoir abandonné son rêve pour rien.

Ceci dit, le campus est aussi réputé pour ses fêtes… Entre les soirées et les différentes activités, l’université ne manque pas de vie. Après tout, on dit souvent que vie sociale et réussite vont de pair… non ?
People always say that I'm...

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Behind the screen
Sinon, pour de vrai je m'appelle Agnès, mais vous pouvez m'appeler Axe. J'ai 19 ans et toutes mes dents ! (: Côté présence, je pense être là 4/7 jours. J'ai connu le forum grâce à Ode et depuis, ma vie a changé ! (Bon, faut peut-être pas déconner. :p)
Je tiens à indiquer que les images que j'ai utilisées viennent de Bazzart et que leur créateur s'appelle Schizophrenic.


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Dernière édition par Mia Thompson le Lun 18 Juil - 20:42, édité 11 fois
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Fondatrice Adulée
Kenneth B. Washington
Kenneth B. Washington
Masculin Etats-Unis
» Âge : 38
» Célébrité : Daniel Gillies
» Métier/Job : Professeur à Monroe U.
» Grade : Professeur titulaire
» Relations :
StellaMa femme. Tu partages ma vie depuis bientôt 10 ans. Je ne saurais pas vivre sans toi.

AmelyaCette soirée, ces regards échangés, ces verres partagés et ces fous rires que tu as provoqué chez moi. Tu m'as touché d'une certaine manière, et je ne parviens plus à te chasser de mes pensés...

» Points d'assiduité : 584
» A Sacramento depuis : 24/07/2012

MessageSujet: Re: Mia Thompson | J'aurais voulu être un artiste ♦ TERMINÉ Mia Thompson | J'aurais voulu être un artiste   ♦ TERMINÉ EmptySam 25 Juin - 19:16

Mia Thompson | J'aurais voulu être un artiste   ♦ TERMINÉ 3672530574 J'avais oublié comme tu écrivais bien. Mia Thompson | J'aurais voulu être un artiste   ♦ TERMINÉ 68281161 Je suis toujours aussi fan de ton style d'écriture et j'adore l'histoire et la personnalité de Mia ! Hate de voir ce qui va se passer avec Liam et sa soeur qu'elle ne connaît pas encore... Mia Thompson | J'aurais voulu être un artiste   ♦ TERMINÉ 1493515188
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MessageSujet: Re: Mia Thompson | J'aurais voulu être un artiste ♦ TERMINÉ Mia Thompson | J'aurais voulu être un artiste   ♦ TERMINÉ EmptyMar 28 Juin - 22:15

Ahah, merci ! Smile Même si tu exagères. Tu as un super style d'écriture aussi, de toute façon ! :p
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MessageSujet: Re: Mia Thompson | J'aurais voulu être un artiste ♦ TERMINÉ Mia Thompson | J'aurais voulu être un artiste   ♦ TERMINÉ Empty

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