Aloha ! [Terminé.]

C'est à Hawai, dans la ville d'Honolulu que les parents de Keloha Kaipo se sont rencontrés, lors d'une compétition de surf. La mère, Lilo Mahelona était vendeuse dans une boutique pour les touristes, et le père , Kai Kaipo, surfeur. Ils se sont fréquentés deux ans, avant de se fiancer pour une année de plus et de se marier. Le mariage fût en petit comité et simple, car Kai et Lilo étaient plutôt pauvres.

 Kealoha Kaipo à vu le jour dans la capitale, un beau jour de Mai. Il était si attendu, que ses parents l'appelèrent "le bien aimé" , "the beloved one" en anglais. Deux ans plus tard, naquit sa petite soeur, Lina.
Dès son plus jeune âge, Kai mit son fils sur une planche de surf.
Kealoha grandit donc avec le sport. Ayant commencé avec le surf, il continua  avec le basket qu'il découvrit et apprit avec ses camarades de classe.
Le jeune Hawaien était très sérieux et studieux à l'école, voulant faire plaisir à ses parents qui travaillaient durs pour payer le loyer. La vie n'était pas vraiment facile pour la famille Kaipo car tout l'argent passait dans le loyer.

L'école que fréquentait Kealoha était une école publique et l'enseignement était plutôt de bonne qualité. Le petit garçon avait des amis, mais pas trop non plus.

Comme ils se rendaient compte que leur fils travaillait dur et que leur vie était trop difficile, Mr et Mme Kaipo décidèrent d'envoyer Kealoha chez leur oncle, frère Lilo, et sa femme, afin qu'il ait une vie meilleure. C'est ainsi qu'à l'âge de 14 ans, Kealoha arriva dans un pays inconnu. Le Canada.

A Vancouver, le jeune natif fut envoyé dans une école réputée pour son bon enseignement. Là bas, il découvrit par un de ses amis Amérindien le Lacrosse. Ce sport lui plaisait beaucoup plus que le sport ou le basket. Depuis cette découverte, Kealoha ne quitta plus le Lacrosse. Il étudiait et jouait quand son temps libre le lui permettait. Les premiers amourettes étaient aussi au rendez-vous, mais Kealoha hésitait à dévoiler ses sentiments, même pour la belle Amérindienne qui faisait du lacrosse.



Malheureusement, l'oncle de l'Hawaien déménagea quatre ans plus tard en Californie, à Los Angeles.  Kealoha regrettait ses parents. La relation avec son oncle était bonne, mais pas comme elle l'était avec ses parents qui l'aimait beaucoup et qui le choyait comme ils pouvaient.  
L'oncle de Kealoha préférait que son neveu travaille pour lui dans sa boutique située sur la plage, où il vendait des articles de plages, des souvenirs et des vêtements. Le garçon travaillait dur pour satisfaire les attentes de son oncle.
Quand il voyait son neveu adresser un sourire au client ou un bonjour poli, Mr Mahelona était très fier. Kealoha avait été bien élevé par ses parents, il n'y avait pas de doutes.

Au lycée, l'Hawaien avait une petite bande d'amis. C'était aussi la période de rebéllion et des premières fêtes. Mais l'adolescent n'oubliait pas pour autant les études, qu'il faisait passer en premier. Il voulait un bon dossier pour étudier dans une bonne université, pourquoi pas Havard. Le sport faisait toujours partie de sa vie, car il faisait partie d'une équipe de Lacrosse de L.A, et également de Basket. Il surfait seulement quand il était en vacances et pour séduire les filles.

Plus les années passaient, plus le natif voulait s'inscrire à Havard. Le rêve ! Il se renseigna, lu tout ce qu'il pouvait sur l'université et travailla d'arrache-pied pour accéder à cette université.
Seulement, quand il reçu la lettre d'Havard, il fut déçu. C'était LE drame !
Havard avait rejeté sa candidature, faute d'argent. Mr Mahelona décida de chercher pour lui une Université. Il trouva une qui rentrait dans leur budget et en parla à son neveu. Ce dernier accepta l'offre, tout en sachant que ce ne serait pas aussi bon qu'Havard.

C'est ainsi que le jeune-homme arriva en cours d'année 2016 à l'Université Monroe, située à Sacramento. Il était inscrit en Deuxième année de Sport, avec comme spécialisation ses deux sports favoris, le Lacrosse et le Basket.
Il espérait réussir malgré le fait qu'Havard lui avait fermé ses portes. Pour financer ses études, il devint livreur de pizzas.

Kealoha Kaipo est un beau jeune-homme à la peau halée. Il est élancé, musclé et mesure 1m77. Enfant, ses cheveux noirs de jais étaient courts mais en grandissant, il a laissé ses cheveux pousser. Ceux-ci lui arrivent au niveau de son torse et descendent en cascades sur son dos. Kealoha à le visage plus creusé que dans son enfance. Ses yeux bridés dont d'un brun profond. On le prend souvent pour un Asiatique à cause de ses yeux ou pour un Amérindien à cause de ses cheveux longs, mais Kealoha répond souvent qu'il est un pur Hawaien. Ses lèvres sont toujours prêtes à sourire et à montrer ses dents blanches.
Kealoha à une voix douce et chaude, et a un rire cristallin.
Concernant son style vestimentaire, Kealoha s'habille simplement. Il lui arrive de porter des bijoux. Ses oreilles sont percées depuis qu'il à 5 ans. Il a un tatouage sur son poignet sur lequel est incrit: "Never Give Up" ("n'abandonne jamais" en anglais).

Côté caractère, l'Hawaien est quelqu'un de calme, doux et gentil, toujours prêt à rendre service aux autres. Il est très déterminé quand il fait quelque chose et perfectionniste. Il déteste ne pas finir son travail ou son objectif. Têtu, il préférera vivre une mauvaise expérience que d'écouter les autres quand il est fixé sur un objectif en particulier.
Taquin, il lui arrive de se moquer des autres également, ce qui n'est pas très sympa. Kealoha est toujours souriant et aime rendre les autres heureux, même en faisant des blagues ou le pitre.
Il est pourtant colérique et déteste les mauvaises critiques.
Kealoha est très galant et aime séduire les filles, même si il doit jouer du Hukulele (il sait jouer un peu de guitare et de Hukulele. Son oncle le lui a appris) ou gagner un match de Lacrosse ou de Basket.
Il aime le sport, notamment le Lacrosse, le Basket, le surf mais aussi la course ou marche à pied et la natation. Il déteste le racisme et quand on se moque de ses origines.
Il aimerait devenir un joueur ou un entraineur de Lacrosse ou de Basket plus tard.