/!\ SEXE NC -18 /!\ The way you make me feel | Amelya&Nicholas

Elle savoura l'image qu'elle avait devant elle, se mordant une nouvelle fois la lèvre inférieure devant le spectacle. Le visage rejeté en arrière, la sensation de ses mains qui agrippent ses hanches et le râle qui s'échappa de ses lèvres était tout ce qu'elle espérait, tout ce dont elle avait pu rêver et elle avait à présent l'occasion de le contempler au premier rang. Amelya n'était vraiment pas prête d'oublier cette magnifique vision qu'il venait tout juste de lui offrir. Elle eut soudainement une forte envie de l'embrasser et entreprit de se relever afin d'y remédier. Il la devança, ce qu'elle accepta avec grand plaisir, se laissant emporter jusqu'à se retrouver de nouveau devant lui afin de l'embrasser passionnément. Elle vint poser l'une de ses mains sur sa joue afin de la caresser doucement à l'aide de son pouce.

Reculant son visage, la jolie brune plongea son regard dans celui de son partenaire tout en continuant ses caresses sur sa peau. Elle avait conscience qu'ils venaient de tout changer en l'espace de quelques minutes. Elle n'avait pas envie de rompre le silence, de revenir soudainement à la réalité et, surtout, d'avoir une conversation. Cette conversation, elle la redoutait. Et le fait qu'elle ne parvienne pas à lire l'expression du visage de Nicholas ne l'aidait pas à se sentir plus rassurée, bien au contraire. Mais Amelya avait un caractère bien trempée et était franche. Elle n'allait pas lui donner l'occasion de faire l'impasse sur ce qu'elle avait à dire.

« J'ai attendu ça depuis si longtemps. » murmura-t-elle avec franchise. Elle voulait la jouer carte sur table, que son professeur sache exactement ce qu'elle pensait. Elle ne voulait pas risquer qui lui dise que ceci était une erreur et qu'ils ne devaient plus se voir. Elle voulait lui faire savoir qu'elle l'avait voulu autant que lui et qu'elle ne comptait absolument pas lui causer de problèmes. Il avait besoin d'être rassuré, bien plus qu'elle en avait besoin, elle en avait pleinement conscience. Amelya déposa un nouveau doux baiser sur ses lèvres.

Elle se montrait rarement aussi douce après ce genre de rapport. Au contraire, elle était la première à quitter le lit ou s'éloigner de la personne avec qui elle venait de partager les instants précédents. Mais avec Nicholas, c'était différent. Elle avait envie de le rassurer, de profiter de sa présence à ses côtés et de son torse qui se gonflait au rythme des battements de son cœur et de sa respiration qui redevenait peu à peu normale.

amelya & nicholas

10 Septembre 2016, 19h13 - The way you make me feel

Amelya interrompt notre baiser. Peut-être a-t-elle senti les doutes qui m’assaillent ? Elle plante son intense regard brun dans le mien, à la recherche d’un expression. Tout ce que mes yeux montrent, c’est du flou. Je ne sais pas quoi lui dire. Je ne sais pas quoi penser. Je ne sais rien du tout et je me sens un peu comme Jon Snow à ce moment précis. Heureusement, elle prend la parole, dans un murmure doux.

- J’ai attendu ça depuis si longtemps.

Sans même attendre ma réponse, elle dépose un nouveau baiser sur mes lèvres et mes mains viennent l’enlacer avec plus de tendresse que pendant nos ébats.

- Vraiment ?

J’ai dit ce simple mot avec une légère pointe de surprise. Ok, Amelya et moi nous tournions autours depuis un certain temps. Mais je n’avais jamais vraiment pensé que ces petites taquineries et provocations subversives puissent être le signe d’un réel intérêt. Après tout, notre différence d’âge était assez énorme… Douze ans, ce n’est pas rien. Dans le dos d’Amelya, mes mains se font caresses. Étrangement, je suis rassuré de savoir que dans la tête d’Amelya, tout était voulu, réfléchis et désiré. Pourtant, dans la mienne, c’est le bordel. Est-ce que j’aime Amelya ? Je ne sais pas encore. Je la désire, je la trouve brillante et on sent entre nous une réelle connexion, autant intellectuelle que physique. Mais il y a Stella… La femme qui partage ma vie depuis dix ans et que attend patiemment que nous fondions une famille que je ne cesse de lui refuser…

Pour chasser cette dernière pensé de mon esprit, mes lèvres viennent trouver celles d’Amelya. Mais notre baiser est interrompu par une lointaine vibration, provenant de mon sac. C’est mon téléphone qui vibre frénétiquement contre mes clefs de voiture. Mon regard se porte sur mon sac, à la fois inquiet et pétrifié. C’est surement Stella qui se demande où je suis… Je ne sais même pas quelle heure il est. J’ai perdu tout repère.

Elle aimait ce nouveau côté de son professeur. Elle aimait d'ailleurs penser qu'elle était la seule élève à avoir droit à ce Nicholas hésitant, tendre et tellement différent de ce qu'il pouvait montrer lors de ses cours. « Vraiment. » confirma Amelya avec un doux sourire alors qu'elle continuait ses caresses sur la joue de son professeur à l'aide son pouce.

Elle n'avait pas la moindre envie de bouger. Elle voulait rester là, contre lui pendant encore de longues minutes ; jusqu'à ce qu'elle comprenne que tout ceci était bel et bien réel et que leurs ébats étaient bien arrivés. L'étudiante répondit tendrement à ce nouveau baiser qui lui était offert, souriant contre les lèvres posées sur les siennes. Mais le bonheur fut de courte durée et le portable du professeur les sortit de leur petite bulle. Cela devait être sa femme et Amelya ne put retenir la déception qui apparut sur son visage. Mais ce qui la dérangea le plus fut l'expression qu'elle parvint à lire sur le visage de son beau professeur. Elle avait conscience que ce qu'ils venaient de faire devait le chambouler. Il avait une vie, une femme et devait se sentir terriblement perdu. La brune ne pouvait que comprendre. Elle était jalouse de cette femme qui pouvait connaître toutes les facettes de Nicholas mais elle ne voulait pas non plus foutre sa vie en l'air : elle le respectait bien trop pour cela.

« Hey. » dit-elle avec douceur alors qu'elle posait de nouveau son regard sur son professeur. Elle vint poser la main sur sa peau, à l'endroit où elle pouvait sentir son cœur. Il battait la chamade, et ce n'était pas seulement dû à leurs activités, elle en était sûre. « Respire, tout va bien se passer. ». Elle déposa un nouveau baiser sur ses lèvres avant de se lever du bureau et de s'éloigner de Nicholas à contre cœur. Ils devaient se rhabiller. Elle refusait de le mettre encore plus en retard et de le rendre encore plus mal qu'il ne l'était 's'il se disputait avec sa femme en rentrant. Bordel, ce qu'elle pouvait être trop gentille lorsqu'elle avait de l'affection pour quelqu'un.

Amelya attrapa sa culotte et l'enfila. Elle fit de même avec son haut avant de se saisir de celui du brun et de passer la chemise autour de ses épaules. Se replaçant devant lui, elle entreprit alors d'en attacher les boutons tout en le regardant avec tendresse. « Et avant que tu n'aies peur ou que tu ne me poses la question, je ne dirai rien. ». Elle se sentait idiote d'avoir à préciser cela alors qu'elle n'avait donné aucune raison de s’inquiéter à son professeur, mais elle voulait l’apaiser autant qu'elle le pouvait.

amelya & nicholas

10 Septembre 2016, 19h13 - The way you make me feel

L’hésitation se lit dans mon regard, mais Amelya n’en semble pas désarçonnée pour autant. Sa main délicate et chaude vient se poser contre mon torse dans lequel mon cœur bat la chamade, au même rythme que les vibrations de mon portable qui n’en finissent pas.

- Hey, fait-elle avec douceur. Respire, tout va bien se passer.

Un nouveau baiser vient se déposer sur mes lèvres, tandis que je ne parviens pas à sortir de ma torpeur. C’est comme si tout d’un coup, la réalité m’avait rattrapé et m’avait foutu une claque monumentale. Amelya, elle, reprend les choses en mains. Nos deux corps se séparent, à mon grand regret, et elle entreprend de se rhabiller, avant de venir m’enfiler ma chemise. Je me laisse faire, en déglutissant. Je suis encore plus perdu que jamais. Les doigts fins d’Amelya viennent effleurer mon torse alors qu’elle s’applique à reboutonner ma chemise un peu froissée. Son regard se pose sur moi et il dégage une tendresse infinie. Le mien ne dégage pas grand-chose, tant qu’ai du mal à digérer la situation. Ok Nich. Tu as couché avec Amelya. Tu as couché avec Amelya, et tu as adoré ça. Et tu ne diras rien de tout ça à Stella. Ni à personne d’autre d’ailleurs.

Un nouveau doute m’envahi alors. Et si Amelya n’était pas aussi discrète ? Et si ce qui venait de se passait fuitait ? Cette fois ci, c’est certain, ma carrière serait belle et bien foutue ! Et comme si elle entendait mes pensés, la voix d’Amelya s’éleva avec douceur pour me rassurer.

- Et avant que tu n’aies peur ou que tu ne me poses la question, je ne dirai rien.

Ces mots ont sur moi un effet libérateur et je crois que je laisse malgré moi échapper un léger soupire de soulagement. Amelya est parfaite. Vraiment. Je soulève son menton d’un doigt délicat et dépose sur ses lèvres un baiser suave.

- J'ai confiance en toi, dis-je alors que nos lèvres se frolent encore.

Revigoré par ces paroles, j’aide Amelya a boutonner les derniers boutons de ma chemise et m’attaque ensuite à mon pantalon. La salle des profs est un joyeux bazar mais ça ne change pas tellement de d’habitude. Peut être un peu plus de papiers et d’objet par terre, mais je suis persuadé que personne n’y prêtera vraiment attention demain.

Je me dirige alors vers mon sac, afin d’en sortir mon téléphone. Le message sur l’écran de mon iPhone est sans équivoque : « Stella – Appels manqués (3) ». Je pousse un soupire tout en regardant Amelya. Bizarrement, je n’ai aucune envie de retourner auprès de Stella ce soir et si je pouvais, je prolongerais bien la nuit avec mon étudiante. Mais il faut se rendre à l’évidence, c’est impossible. En tous cas, pas ce soir.

- Je vais devoir y aller, dis-je en me rapprochant d’Amelya, en agitant mon téléphone entre mes doigts, avant de déposer sur ses lèvres un nouveau baiser. Tu ne m’en veux pas ?

Au fond de moi, je meurs d’envie de lui demander si elle veut qu’on se revoit, en dehors des cours, pour discuter de ça, de ce qui vient de se passer. Mais je n’ose pas, de peur qu’elle ne pense que ma seule envie est de recoucher avec elle. Ce n’est pas ça, pas du tout, même si l’idée de recommencer est loin de me déplaire.

Amelya était une maniaque du contrôle. Rien que l'idée de ne plus rien contrôler avait le don de la rendre totalement hystérique et morte de trouille. Alors elle s'empressait de toujours réfléchir et d'agir en sorte à ce que cela n'arrive pas, et elle s'efforçait de calmer les pensées des autres par la même occasion. Enfin, de ceux qui étaient proches d'elle ou pour qui elle avait de l'affection. Elle n'était tout de même pas Madame Teresa. Nicholas faisait partie de ces personnes. Elle ignorait ce qu'elle ressentait vraiment à son égard mais elle savait qu'elle tenait à lui, qu'elle aimait être avec lui et, qu'aussi loin qu'elle se souvienne, qu'elle avait envie de cette proximité physique qu'ils s'étaient offerts ce soir. Elle s'en voulait un peu, de le mettre dans une pareille situation, et s'empressait de faire ce qu'elle pouvait afin d’apaiser un minimum ses peurs. C'était d'ailleurs un côté tendre qu'elle ne montrait à personne, sans doute parce qu'elle n'en avait ni l'occasion ni la moindre envie.

Elle sourit à la déclaration de son professeur. Le fait qu'il avoue avoir confiance en elle lui faisait du bien. Il avait raison de penser qu'elle tiendrait sa langue puisqu'elle ne comptait absolument rien dire afin de ne nuire ni à la carrière, ni au mariage de son interlocuteur. Il y avait aussi son petit côté égoïste qui espérait que si rien ne fuitait, ils pourraient recommencer même si, pour une fois, elle essayait de faire taire cette partie d'elle-même. « Ca me fait plaisir. » avoua-t-elle tout en continuant de fermer les boutons de la chemise.

Alors qu'il s'éloigne, Amelya se retourne afin de ramasser ses affaires. Ces dernières sont éparpillées un peu partout dans la pièce et elle a bien du mal à ne rien oublier mais, après quelques longues secondes, elle parvint à tout ranger dans le sac qu'elle avait emmené et le glissa à son épaule. Elle se retourna ensuite afin de faire de nouveau face à son professeur qui s'était avancé vers elle. Son regard se posa sur le téléphone qu'il montrait et elle eut une mine légèrement boudeuse, déçue. « Je sais. » répondit-elle avant de prolonger le baiser durant quelques secondes. « Bien sûr que je ne t'en veux pas. ».

Elle rêvait aussi de pouvoir passer la soirée à ses côtés, peu importe les activités qui y seraient prévues. Après ce qu'il venait de se passer, elle avait envie de laisser courir ses doigts sur le corps de Nicholas, de profiter de sa présence sans pouvoir être dérangés et discuter calmement de tout et de rien. Bien entendu, ils auraient parlé de ce qu'il venait de se passer. C'était un passage obligatoire. Mais ils auraient été ensembles. Amelya ne voulait pas qu'il parte et, poussée par sa franchise et par son envie que tout soit clair entre eux et qu'il sache qu'il pouvait lui faire confiance, elle lui fit part de ses envies. « Je peux pas dire que je ne voulais pas que tu restes, mais je ne t'en veux pas. » dit-elle en prenant doucement sa main dans la sienne.

amelya & nicholas

10 Septembre 2016, 19h13 - The way you make me feel

J’admire Amelya pour sa patience et sa compréhension. En même temps, elle savait bien que j’étais marié. L’alliance à mon annulaire gauche, que je ne quittais jamais, en était la preuve.

- Bien sûr que je ne t’en veux pas.

Ma main vient caresser sa joue avec tendresse.

- Je ne peux pas dire que je ne veux pas que tu restes, mais je ne t’en veux pas.

Je ne peux m’empêcher de sourire, tandis que ma main continue de caresser sa joue avec tendresse. Moi aussi j’aurais aimé pouvoir rester. Mais c’est impossible. Stella va se douter de quelque chose, c’est certain. J’ai l’impression que le parfum d’Amelya a imprégné tout mon corps, ce qui provoque en moi une nouvelle angoisse. Il faudra que je me douche en arrivant. Vite. La main d’Amelya attrape la mienne avec une douceur infinie et nous nous plongeons chacun dans le regard de l’autre, comme pour profiter des derniers instants de cette soirée.

- J’aimerais pouvoir rester aussi, mais ce n’est pas prudent…

Mes lèvres s’approchent des siennes, les frôlant presque.

- Disons que ce n’est que partie remise, d’accord ?

Le temps presse et mon téléphone se met à vibrer une nouvelle fois dans ma main. Je m’éloigne instinctivement d’Amelya. Je dois décrocher, pour rassurer Stella.

- Allo ? Pardon mon amour. Oui je sais. Hum. Je serai là dans dix minutes. Je t’expliquerai. Moi aussi je t’aime.

Prononcer ces derniers mots devant Amelya me met extrêmement mal à l’aise. J’ai l’impression de la tromper elle, ce qui me semble être un sentiment très étrange. Je raccroche le téléphone et le glisse dans ma poche. Je me rapproche alors de nouveau d’Amelya et ma main vient se glisser dans la sienne.

- Je suis désolé…

Mon regard le prouve. Je tente de lui adresser un petit sourire.

- Je dois vraiment y aller.

Je dois y aller, mais je ne sais pas quoi dire de plus avant de la laisser. « On s’appelle ? », « A demain en cours ! », « On remet ça quand tu veux. » Non. Pfff, Nich, t’es vraiment un abruti des fois. Mes lèvres viennent alors se poser sur celles d’Amelya dans un ultime baiser, avant de m’éloigner doucement, ne lâchant ses doigts fins qu’au dernier moment. Je tourne les talons et franchis la porte de la salle des profs, adressant un dernier regard à Amelya, avant de filer pour de bon. Dans ma poitrine, mon cœur s’affole. Il me reste moins de dix minutes pour trouver une explication valable que je pourrai donner à Stella… Je me sens un peu minable, tout d’un coup. Mais paradoxalement, je n’arrive pas à avoir de regret. Amelya et moi sommes connectés, d’une manière spéciale et je ne peux pas le nier, quand bien même j’en aurais eu envie, ce qui n’est absolument pas le cas.

Amelya sourit doucement alors qu'elle hochait positivement son visage. Ce n'était vraiment que partie remise, et elle allait le prendre au mot. « Promis ? » s'enquit-elle avec douceur. Habituellement, elle serait partie sans rien dire, en laissant traîner une phrase provocatrice derrière elle et attendant patiemment que sa conquête ne revienne la queue entre les jambes et en courant. Mais tout était différent avec Nicholas. Elle n'avait pas envie de risquer de le perdre en jouant la fille qui s'en moquait. Elle voulait être franche, ne rien lui cacher et ainsi gagner sa confiance. Elle avait pleinement conscience de se lancer dans quelque chose de compliqué qui ne pouvait que mal finir pour tout le monde, mais elle voulait en profiter autant que cela pouvait durer. Et une petite voix dans son esprit lui disait que ce n'était que le début.

Le téléphone du professeur sonna et la jolie brune grimaça légèrement tout en baissant les yeux. Savoir qu'il était marié et l'entendre dire des mots doux à sa femme étaient deux choses différentes. Pour le coup, elle avait l'impression d'être un intrus dans la conversation, comme si elle avait surpris une conversation qui ne la concernait absolument pas. D'ailleurs... c'était un peu le cas. Elle se demanda soudainement ce que sa femme pouvait bien lui apporter pour qu'il soit avec elle, comment se passait leur vie, comment ils s’organisaient ensemble. Amelya secoua son visage afin de chasser ses pensées : elle n'allait certainement pas se mettre à penser à ça, c'était une très mauvaise idée.

Nicholas vint de nouveau vers elle après avoir raccroché et glissa sa main dans la sienne, ce qui la fit revenir sur terre. Son regard vint son plonger dans le sien et elle sourit doucement devant ses excuses. « Ne t'excuse pas. Je comprends. » Elle n'ajouta rien, se contenant de savourer ce dernier baiser échangé et ces dernières secondes où ils n'étaient rien que tous les deux. Sa main ne lâcha la sienne que lorsqu'il quitta la pièce et elle le regarda partir tout en souriant doucement. Bordel. Elle venait de passer la soirée la plus dingue de sa vie. Quittant la pièce à son tour, elle se décida à rentrer dans son appartement, un sourire idiot sur ses lèvres.