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"Last Chance For Losers", comme on dit. [Terminé]

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MessageSujet: "Last Chance For Losers", comme on dit. [Terminé] "Last Chance For Losers", comme on dit. [Terminé] EmptyJeu 11 Aoû - 14:49


KIERAN COLLINS
26 ans ∞ JERSEY ∞ AMERICANO-IRLANDAIS ∞ CURSUS SPORTIF ∞ CELIBATAIRE ∞ KIT HARINGTON

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How I made a mess of my life

D'où vient mon envie de voyage ? A vrai dire, moi-même, je ne le sais pas vraiment. Peut-être suis-je né avec, ou peut-être est-ce mes premières années passées dans un quartier -pas forcément très sympa- près de Manhattan qui m'ont donné cette envie de liberté constante. Vivre dans la pauvreté aurait pu passer. Mais vivre enfermé, en plus de ça... Non. Je pense, en fin de compte, que c'est ma vie dans ce quartier délabré qui m'a assoiffé de paysages.

J'ai grandi donc dans un quartier gris et sale. Du plus loin que je me souvienne, mon père n'a jamais été présent. C'était ma mère qui s'occupait de moi. Femme seule mais rayonnante, ou du moins, durant mon enfance. Les moindres heures que l'on passait ensemble étaient remplies d'éclats de rires et d'éclaboussures, près du fleuve qui nous séparait de cette belle Manhattan. Ce fleuve était peut-être ma seule bouffée d'air, parce que cet endroit était l'unique lieu où j'allais avec ma mère. Le peu d'argent qu'elle gagnait, allait dans le loyer et la nourriture. Mais même en faisant attention, il nous arrivait de vivre quelques mois sans électricité ni eau chaude.

Elle se débrouillait pour terminer le travail en même temps que mes journées scolaires, afin d'éviter de payer une tiers personne pour s'occuper de moi. Je n'étais facile à vivre qu'avec elle en fait. A l'école, j'étais timide et renfrogné, ce qui m'attirait souvent des problèmes. Mais dès que je sortais de ce lieu, mon visage et mon comportement changeaient radicalement. J'étais attaché à ma mère, tout comme elle était attachée à moi. Les quelques heures de séparation semblaient être un véritable supplice durant ma toute jeune enfance.

Puis arriva l'époque du collège. L'adolescence me guettait, tout comme les bagarres. De nombreuses fois, ma mère devait quitter le boulot pour me retrouver dans le bureau du Directeur. A côté de ça, je savais que son boulot la fatiguait. Mais je ne faisais aucun effort. Le psychologue de l'école racontait que j'avais le comportement type de "l'enfant mono-parentale". Que j'en voulais au monde entier, à cause de l'absence de mon géniteur et par ce fait, de mon "manque d'éducation". Chaque collège où j'allais, il me semblait toujours entendre ce même ramassis de bêtises. Ce que personne ne semblait comprendre, c'était ma hantise à rester dans une salle, remplie de monde, de personnes dans mon "espace vital". J'avais besoin de bouger, de courir, de nager, ou même d'être seul dehors. Sans avoir de murs autour de moi. Tout simplement.

Ce n'est qu'à mes 15ans que l'on décela mon hyperactivité. On rejeta encore la faute sur ma mère, pour son manque de conjoint qui aurait pu palier l'absence de mon père. Par son manque d'autorité. Je devais serrer de nombreuses fois les poings et baisser de nombreuses fois la tête pour ne pas que l'on voit la rage que j'éprouvais envers ce genre de personnes, bonnes qu'à juger sans chercher à comprendre. Je voyais ma mère s’aplatir devant eux, dans la plus grande injustice et dans le plus sinistre silence. Nombreuses fois je m'abstenais de réagir devant ces doigts pointés : ça n'aurait fait que leur donner raison sur mon soit disant manque d'éducation.

Les années de collège finirent. Enfin. Si le secteur regorgeait de collèges, c'était autre chose pour les lycées. Je devais prendre le car chaque matin et chaque soir. Pour aider financièrement, je commençais à travailler sur les divers marchés. A vrai dire, les études m'importaient peu, mais ma mère souhaitait que j'aille le plus haut possible. Elle me racontait toujours regretter le fait d'avoir abandonné ses études. Le fait de nous faire vivre dans ce quartier, le fait de me faire vivre cette vie qui ne m'allait pas. J'ai donc poursuivi mes études jusqu'au lycée, ayant de peu mon diplôme qui devait me conduire à une suite.

Elle ne cessait d'observer ma jambe tremblante, durant le repas du soir. Une jambe assoiffée de sortir et de se dégourdir. Ma mère connaissait pertinemment mon rêve le plus cher : m'enfuir d'ici avec elle et voyager à travers le monde. Lui faire découvrir les plus beaux paysages et lui rendre la pareille pour toutes ces années passées. Mais je ne voyais pas ma mère vieillir et prendre trop de rides pour son jeune âge. Elle n'en avait que 35, mais semblait en avoir 10 de plus.

Je crois que c'est à la mort de ma mère que je ne supportais plus d'être enfermé. Elle est tombée malade, un simple et bête coup de froid. Et la maladie l'a emportée quelques semaines plus tard. Je la voyais maigrir malgré toute mon attention et tous les soins que je lui offrais. Je devais avoir 19ans peut-être. Il y eut de nombreuses personnes à son enterrement. Je ne connaissais personne. Ils n'étaient que des collègues de travail, répétant sans cesse que ma mère était la meilleure et la plus courageuse. Ils pleuraient. Ils pleuraient pour ma mère, cette pauvre mère célibataire connue de tous mais qui n'avait pourtant jamais connue d'épaule pour se reposer à part la mienne. Devant tant d'hypocrisie, je n'ai rien pu faire, à part rester au loin pour ne plus avoir affaire à ces idiots. A cours d'argent, j'ai pris la plus grande valise que j'avais, et après avoir récupéré tous les objets de valeurs que nous avions et le strict nécessaire, j'ai abandonné l'appartement. Trop de souvenirs là-bas. Trop de restrictions entre ces 4 murs.

Je suis parti. Je marchais. Je faisais du stop. Je prenais une douche quand j'en avais l'occasion. J'ai connu durant ces quelques mois, des personnes qui m'ont hébergé quelques jours. Des personnes bonnes, mais chez qui je ne voulais pas vivre. Ma maison, c'était dehors. Cette habitation sans limites. Cette liberté que je n'ai jamais eu malgré tous les efforts de ma mère.

J'avais dépassé mes 20ans lorsque ma route s'est arrêtée à New-York. Ces mois de voyage m'avaient exténué et mes maigres économies recueillies durant, me permirent de m'installer dans le Bronx. Le premier mois fut confortable, mais le second me fit maigrir tant je me privais pour économiser. Je devais retrouver un travail. Et c'est ce qui arriva une semaine plus tard : par chance, un boulot de livreur s'était libéré juste en bas de mon studio. Je n'étais pas obligé d'être enfermé et j'étais même payé pour me promener.

Ce job me convenait parfaitement. Le scooter que j'utilisais était devenu ma propriété, je pouvais l'utiliser quand je le souhaitais. J'allais souvent me promener avec du coup, trainant à gauche à droite, et il me semble que c'est en pleine automne que je l'ai rencontré.

Ce petit bout de femme, dessinant sur son banc. Plutôt avenant et curieux je dois dire, je suis passé derrière elle pour voir ce qu'elle dessinait. Et je crois que tout est parti de là. Je suis un grand rêveur, mais je riais toujours au nez des personnes qui croyaient au coup de foudre. Et à cet instant, je me suis senti bête, souriant et bégayant pour rien, sous ses yeux qui me paraissaient extraordinaires, tout comme son sourire.

"Euh pardon, salut..?" furent mes premiers mots. Aussi débiles soient-ils, ce furent grâce à eux que la conversation s'enclencha et que je posais mes fesses à coté des siennes. Ce fut les premières minutes de ma vie avec elle. Elles se multiplièrent, devenant des heures, des jours, des semaines, puis des mois. Elle devint mon amie, puis bien plus encore. Ses affaires se joignirent aux miennes dans mon studio qui devint bientôt le nôtre. Nous partagions le même rêve : voyager.

A partir de ce moment-là, les moments où je trainais dehors devinrent rares : Après le boulot, je rentrais pour la retrouver. Être enfermé ne me dérangeait pas, tant que je l'étais avec Autumn. J'avais l'impression de pouvoir tout subir du moment qu'elle restait à mes côtés. Et les 3 mois qui suivirent passèrent à une vitesse folle. Bientôt, notre carrosse fut acheté et rempli de nos affaires.  
Et ça a duré pendant 6 mois. La route jusqu'à Los Angeles. Je n'ai jamais autant conduit de ma vie je crois. Et même si j'étais heureux par toutes ces villes rencontrées et par tous ces kilomètres parcourus, j'étais fatigué de toute cette route. On a finalement posé nos bagages dans la ville des anges. Il n'en fallut pas plus à notre courageux carrosse pour nous abandonner. Mais il en eut bien le droit, après tout. Nous étions installés dans une ville qui nous plaisait, toujours avec notre âme soeur. Je repris le boulot de livreur. C'est certainement le job qui me va le plus. Et Autumn, elle, a continué à vivre de sa passion en dessinant à Venice Beach. Peut-être que je me faisais vieux, que toute cette route parcourue m'a fait comprendre que prendre une pause de quelques mois, ça peut être cool... Bref, dans tous les cas, m'installer ici m'a fait du bien. Je ne ressentais plus cette horrible pression, ce besoin de bouger constamment. Comme si finalement, j'avais trouvé ce que je cherchais depuis le début : vivre avec le bonheur. Dans ma version des faits, je me rend compte que ce bonheur portait le nom d'Autumn. La vie avec Autumn. La routine avec Autumn. Tout et n'importe quoi avec Autumn. Elle me faisait toujours autant tourner la tête.

La seule chose que j'aurai à lui reprocher serait... Son silence de plusieurs mois. Durant un peu plus de... Trois mois ? Quatre mois, peut-être, je la trouvais étrange. Mais c'est après une dure journée qu'elle ajouta la dernière goutte d'eau au vase.

J'étais énervé comme jamais ce soir là. J'avais l'impression de retrouver cette rage qui m'avait quitté depuis plusieurs années déjà. Cette sensation d'être trahi. Cette sensation de mensonge. Elle était enceinte et ne m'avait prévenu de rien. Mes mots ne furent jamais aussi durs que cette soirée là. Je redécouvris à nouveau cette sensation d'être piégé. Ma notion de liberté venait de prendre un coup, perdant une aile au passage. Je ne voulais pas de cet enfant. On ne pouvait pas avoir cet enfant. Nous étions nous-même deux enfants en plein apprentissage de la vie, découvrant la liberté encore et toujours, nous délectant de chaque petit plaisir partageable qu'en couple. Nous ne pouvions pas...

Mais devant la détresse d'Autumn, je finis par me calmer. "Ce n'est pas bon pour l'enfant". Ce genre de phrases que me balançait mon cerveau sonnait tellement hypocrite. Je m'en fichais bien de lui. A contrario d'elle... Mes bras finirent à nouveau autour d'elle, l'étreignant et embrassant son front une dizaine de fois. Je ne voulais pas la perdre. Et comme pour nous réconfortait, des tonnes de phrases débiles sortaient de ma bouche. "Il sera le plus heureux. Il aura les meilleurs parents. Il nagera dans le bonheur. Je ne vous abandonnerais jamais."

Ces phrases n'ont jamais cessé de me hanter. Chaque jour, chaque semaine, chaque mois. Je me les ressassais, comme pour me donner le courage de rester. Pour essayer de faire pousser ma fibre paternelle, celle que je n'avais jamais connu. Mais plus les jours passaient et plus je m'éloignais d'eux. De notre nid. De cet enfant. De la femme qui me faisait tant rêver.

Comment pouvais-je accueillir cet enfant avec tout ce que je lui avais promis... Alors que... Moi-même, je n'avais jamais eu de modèle paternel ? Je ne savais pas comment j'allais pouvoir me comporter avec cet enfant. Quelle éducation lui offrir ? Autumn était bien partie pour offrir tout l'amour que ma mère m'avait offert. Mais moi, quelle sorte d'éducation je devais lui offrir ? Comment devais-je m'occuper de ce bébé afin qu'il ne connaisse pas les même soucis que moi, arrivé en âge d'être scolarisé ? Tel un coquillage devant un intrus, je me suis refermé sur moi-même, rêvant de dehors, cauchemardant au dedans. J'ai fini par faire ce qu'avait fait mon géniteur : J'ai abandonné la partie.

Je suis resté une heure devant notre boite aux lettres. Elle n'était pas encore rentrée. Et j'attendais. Quoi, je ne savais pas exactement. De trouver le courage de déposer cette lettre avec toutes mes économies peut-être. C'est ce que j'ai fini par faire. Puis j'ai enfourché mon pauvre scooter et suis parti de cette vie. J'ai roulé autant que j'ai pu. Jusqu'à ce que ma jauge d'essence ne me permette plus de m'éloigner. Jusqu'à ce que mon propre porte-monnaie décide de ne plus cracher de billets.

Où j'étais ? Je ne sais pas vraiment. Je ne faisais pas attention aux noms des villages que je franchissais. Ni à tous ces gens. J'errais. J'avais même fini par vendre mon véhicule, pour me payer les transports en commun. Pour continuer à m'éloigner d'Autumn et de son enfant. De ce problème.

Les mois passèrent. Puis bientôt, ce furent les années. Je n'arrivais plus à emménager où que ce soit. Je préférais squatter les fonds des rues la nuit et me promener le matin. Les nombreux foyers que je croisais ne m'attiraient pas. Je n'avais pas besoin d'eux. J'avais besoin de mon indépendance. Que l'on me laisse tranquille. J'avais besoin d'assumer seul mes propres choix. De ne m'en vouloir qu'à moi même. Et tout ce temps passé seul ne m'a pas forcément fait de bien. Je suis devenue une véritable coquille vide. Je trouvais toujours deux ou trois boulots sur ma route, avec toujours des personnes très agréables. Mais je n'arrivais plus à m'attacher à qui que ce soit. Je ressentais le manque. Je ressentais l'absence d'Autumn. Ou en tout cas, ma présence auprès d'elle. Que devenait-elle ? Avait-elle gardé l'enfant ? J'avais encore l'esprit noyé par toutes ces questions que j'ai pourtant cherché à dégager de mon esprit. Il me semblait être parti pour rien. Je me demande encore ce que je cherchais en l'abandonnant.

Vivre sur le pouce a toujours été une habitude pour moi. Mais vivre seul était une expérience dont je devais me réhabituer. Durant ces quasi trois ans, elle n'a jamais quitté mon esprit. Et ce n'est qu'un jour d'automne que je l'ai retrouvé. Sur internet. Dans un cybercafé perdu, alors que je recherchais un ordinateur pour imprimer un document, la page facebook d'un ancien client était restée active. Je n'avais pas de compte sur ce réseau social et à vrai dire, je m'en fichais. Internet ne m'interessait pas. J'aurai pu fermer tout simplement cette page, si l'option "rechercher" n'avait pas attiré mon attention. C'est avec une certaine lenteur que j'ai tapé dans cette barre de recherche Autumn Grey. Elle avait un compte. Et elle n'avait pas changé. Peut-être... Son sourire et son regard. Ils leur manquait quelque chose.

La facture du cybercafé s'agrandissait au fur et à mesure que j'espionnais son compte, assoiffé d'avoir enfin de ses nouvelles, indirectement. Sacramento semblait être sa nouvelle vie. Et elle semblait avoir repris ses études. Ma curiosité me mena encore plus loin, jusqu'au site internet de son école. Monroe.

Me sentant mal devant toutes ces heures passées à espionner celle que j'avais abandonné, j'ai fini par quitter l'endroit. Mais retourner dehors ne me menait à rien. Tout ce que je venais d'apprendre me hantait, m'affligeant de vieux souvenirs. Je me mis à me haïr de plus en plus. Le manque se faisait sentir de plus en plus et plus rien ne m'allait. Je savais que plus rien ne m'irait. Mes vieux démons m'ont replongé trop profond pour que je puisse continuer comme si de rien n'était.

J'ai pu résister un mois entier avant de partir de là où j'étais. Et contrairement à ces dernières années, je savais particulièrement où j'allais cette fois. J'avais tout planifié. Comme un être normal. Les semaines qui passèrent furent plus dures qu'à l'accoutumée. J'avais l'impression que suivre ce but était plus difficile que ce que je ne pensais. Mon dernier poste m'avait offert une grosse liasse de billets. Ou plutôt, une liasse dont je m'étais servi avant de disparaitre totalement. J'étais tellement éloigné de Sacramento que je n'avais vu que cette solution. Je n'avais plus envie de prendre mon temps, Je ne pouvais plus le prendre. Je voulais la retrouver au plus vite. Même si elle m'en voulait de l'avoir abandonné. Même si je lui en voulais de m'avoir caché sa grossesse.

Je me suis inscrit à cette université. J'avais besoin d'un motif pour la retrouver. Moi qui ne me voyait pas poursuivre mes études, il faut dire qu'en plus de m'aider à me rapprocher d'elle... Le cursus sportif m'attirait beaucoup. C'est demain que je commence. Que je reprend ma scolarité. Pour l'instant, je traine encore dans la rue, squattant encore un foyer ou deux pour pouvoir prendre mes douches et ne pas puer le rat mort. Cela doit faire depuis plusieurs années que je ne me suis pas vraiment regardé dans un miroir longtemps. Et quand je le fais... J'ai l'impression d'être une personne si différente. Physiquement, je n'ai pas changé. Je garde toujours mes cheveux bruns aussi longs, même si je les coupe de temps à autre. Mes yeux sont toujours aussi sombres qu'avant, bonne météo ou pas. Mais des cernes les entourent. Ca me donne un air triste. Déjà qu'à la base, je ne suis pas quelqu'un de très souriant... J'ai vieilli. Je le vois bien. Je suis loin d'avoir des rides, mais mon visage fait plus... Mature peut-être. Ou plus sombre. Encore et toujours. Faut-il que notre visage s'assombrisse pour gagner en maturité ? Pourquoi une simple action comme me regarder dans le miroir me rend si philosophique, tiens... Je déteste les miroirs en fait je crois.  

Je crois que si je reprend un studio, je n'en aurais pas un seul. Enfin... Je dis ça mais... Je ne me sens pas encore prêt pour m'installer quelque part à nouveau. J'ai un peu d'argent et... Il faut dire que cette université aide beaucoup et propose pas mal de choses pas très chères. Je verrai plus tard. Avant de penser à moi, je dois retrouver Autumn et... Ouais, je verrai plus tard.




People always say that I'm...

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Behind the screen
Sinon, pour de vrai je m'appelle Anaïs, mais vous pouvez m'appeler Kazu. J'ai 21ans ans et (presque) toutes mes dents ! (: Côté présence, je pense être là 4/7 jours. J'ai connu le forum grâce à Autumn sur FB et depuis, ma vie a changé !
Je tiens à indiquer que les images que j'ai utilisées viennent de bazzart et que leur créateur s'appelle CREDIT.


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Dernière édition par Kieran Collins le Jeu 11 Aoû - 16:46, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: "Last Chance For Losers", comme on dit. [Terminé] "Last Chance For Losers", comme on dit. [Terminé] EmptyJeu 11 Aoû - 15:32

ouh le beau monsieuuuuuur *0* "Last Chance For Losers", comme on dit. [Terminé] 3315963846 Ca donne envie de faire un perso féminin pour aller avec lui XDDD Welcome ! Hâte de rp avec toi ! Cursus sportif ? Bien bien, j'ai un sportif aussi dans mes rangs (mais pas le même cursus hélàs)
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Fondatrice Adulée
Autumn M. Grey
Autumn M. Grey
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» Célébrité : Emilia Clarke
» Métier/Job : Co-présidente des Free Minded
» Cursus : Artistique, spécialité Arts Visuels
» Grade : Etudiant(e) en 3ème année
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KieranEx, père de Lyanna. LyannaMa fille,ma vie.

» Points d'assiduité : 119
» A Sacramento depuis : 09/08/2016

MessageSujet: Re: "Last Chance For Losers", comme on dit. [Terminé] "Last Chance For Losers", comme on dit. [Terminé] EmptyJeu 11 Aoû - 15:49

Niaaaaaaaah ! "Last Chance For Losers", comme on dit. [Terminé] 285882454"Last Chance For Losers", comme on dit. [Terminé] 100788031"Last Chance For Losers", comme on dit. [Terminé] 1493515188"Last Chance For Losers", comme on dit. [Terminé] 2319943644 Mais toi je t'aime déjà tellement si fort ! "Last Chance For Losers", comme on dit. [Terminé] 1685323821
Welcome sur le forum & laisse moi te dire que tu as fait un excellent choix de personnage. "Last Chance For Losers", comme on dit. [Terminé] 3332342685"Last Chance For Losers", comme on dit. [Terminé] 3177719638 Je te le redis une nouvelle fois ici : j'adore ta façon d'écrire, c'est ultra fluide et c'est un plaisir à lire ! "Last Chance For Losers", comme on dit. [Terminé] 4184928040 Bonne continuation pour ta fiche et si tu as besoin de quoi que ce soit, MPote moi sur le compte d'Autumn ou celui de Nicholas ! "Last Chance For Losers", comme on dit. [Terminé] 4006626646

Pssst Lance, on touche pas à Kieran : il est à moi ! Razz "Last Chance For Losers", comme on dit. [Terminé] 3332342685"Last Chance For Losers", comme on dit. [Terminé] 4292440920"Last Chance For Losers", comme on dit. [Terminé] 3320039149
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MessageSujet: Re: "Last Chance For Losers", comme on dit. [Terminé] "Last Chance For Losers", comme on dit. [Terminé] EmptyJeu 11 Aoû - 16:34

Lance : haha, merci beaucoup ! Et sorry, Kieran est déjà casé, débrouille-toi avec la fonda ! "Last Chance For Losers", comme on dit. [Terminé] 3935704202

Autumn : merci, ça fait vraiment plaisir ! "Last Chance For Losers", comme on dit. [Terminé] 68281161 (rah, tous ces smileys, let me die xD)
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MessageSujet: Re: "Last Chance For Losers", comme on dit. [Terminé] "Last Chance For Losers", comme on dit. [Terminé] EmptyJeu 11 Aoû - 16:48



Fiche validée
Bravo et bienvenue parmi nous !
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Ta fiche est juste parfaite ! "Last Chance For Losers", comme on dit. [Terminé] 285882454 J'adore tout ce que tu as écrit, tu as vraiment ultra bien cerné Kieran & j'ai plus que hâte de RP avec toi ! "Last Chance For Losers", comme on dit. [Terminé] 68281161 Désolée pour l'avalanche de smileys : déjà qu'à la base je les aime bien alors si en plus je suis ultra contente, tu vois ce que ça peut donner ! "Last Chance For Losers", comme on dit. [Terminé] 3177719638"Last Chance For Losers", comme on dit. [Terminé] 858108404"Last Chance For Losers", comme on dit. [Terminé] 3935704202

Maintenant que tu as terminé ta fiche de présentation, je suis là pour procéder à ta validation. Ce message va t'aider à mieux connaître le forum, en t'indiquant les endroits importants. T'es prêt ? On y va !

ϟ En premier lieu, je te conseille, si ce n'est pas déjà fait, d'aller compléter ton profil avec les informations de ton personnage. C'est plus sympa pour les autres membres, afin qu'ils puissent te connaître !

ϟ Ensuite, tu pourrais aller créer ta fiche de sujets & de relations. Elle permettra aux autres membres de te proposer des liens et des sujets pour t'introduire dans le RP ! Aussi, si tu le souhaites, tu peux créer un sujet de communication. Ce n'est pas obligatoire, mais c'est plus sympa, et c'est aussi une manière différente de faire avancer les RP rapidement.

ϟ Si tu souhaites tout savoir sur Sacramento, Monroe U. et le système universitaire américain, tu peux aller voir par ici. Ca grouille d'infos utiles qui te permettront de tout comprendre facilement.

ϟ Une fois ces petites choses faites, tu pourras aller consulter le Panneau d'Affichage afin de trouver un logement, un club, un job ou encore une confrérie à rejoindre. Sache que les confréries ne sont pas obligatoires. Par défaut, tu as d'ailleurs déjà été ajouté au groupe "Random Student" qui correspond à ceux qui n'ont pas encore rejoint une confrérie.

Voilà ! Après tout ça, tu pourras commencer à jouer sur le forum. Si tu as la moindre question, le moindre doute (ou même une idée farfelue) qui te passe par la tête, n'hésite pas à me contacter : je serais évidemment ravie de t'aider ! =D

Sur ce, je te souhaite une bonne continuation sur le forum ! BisoOous !


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MessageSujet: Re: "Last Chance For Losers", comme on dit. [Terminé] "Last Chance For Losers", comme on dit. [Terminé] EmptySam 13 Aoû - 5:49

Bienvenueeeeee (un peu en retard) "Last Chance For Losers", comme on dit. [Terminé] 2060614747
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MessageSujet: Re: "Last Chance For Losers", comme on dit. [Terminé] "Last Chance For Losers", comme on dit. [Terminé] Empty

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