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Edwige ▬ La vie, c'est comme une putain de blague ; alors tu te tais, tu ris et tu avances.

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MessageSujet: Edwige ▬ La vie, c'est comme une putain de blague ; alors tu te tais, tu ris et tu avances. Edwige ▬ La vie, c'est comme une putain de blague ; alors tu te tais, tu ris et tu avances.  EmptyMar 16 Aoû - 20:12


Edwige Bürger
48 ans ∞ Née à Lübeck, en Allemagne ∞ Allemande ∞ Professeur de théâtre depuis la rentrée 2014 ∞ Deux fois divorcée, célibataire ∞ Helena Bonham Carter

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How I made a mess of my life
Que vous dire de ma vie ? Artiste loupée, femme que la vie n'a pas franchement épargnée, mère de deux merveilles issues de deux pères différents, femme infidèle qui a supporté deux mariages ayant tourné au fiasco le plus total... J'ai eu une vie bien remplie, de ces vies qui font froncer les sourcils parfois. Et je ne m'en plains pas. C'est le passé qui forge le caractère, et mon caractère me convient aujourd'hui parfaitement. J'ai été détruite, j'ai eu l'impression de me noyer, d'être broyée par mes désirs et mes échecs, mais je suis debout, plus que jamais. Et j'aime la vie. J'aime passionnément vivre. Je crois que vivre est ma plus grande passion. Finalement, j'ai appris que la vie n'était qu'une blague, et qu'il fallait la prendre comme elle venait, avec les merdes qu'elle pouvait apporter. J'ai compris que se prendre au sérieux ne rendait pas heureux. J'ai compris que le plus important, dans la vie, c'était la vie elle-même. Et ce qu'on décide de faire de cette vie. Je n'ai pas toujours fait les bons choix, mais j'ai le mérite d'avoir su me relever, d'avoir su avancer, et d'avoir su me battre. C'est ça, le plus important.

Je suis née à Lübeck, en Allemagne, le 10 juin 1968. Mon père était un salaud qui aurait certainement dû être condamné pour crime contre l'humanité ; il faisait parti de ces militaires qui ont travaillés dans les camps de la mort, quand l'Allemagne est partie en couilles et a décidé d'éradiquer les juifs. Mais le fait est que mon père n'avait fait « qu'obéir aux ordres » ; beaucoup trop de nazis sont passés entre les mailles du filet grâce à cette excuse. Mon père était donc un enfoiré, doublé d'un raciste et attaché à l'idéologie Hitlérienne même bien après que son Führer ai quitté ce monde. Sympa, non ? Ma mère, elle, était aussi plate qu'on pouvait l'être. Elle ne haussait jamais le ton, elle ne disait jamais rien qui pouvait froisser mon père. Je me demande même s'il lui arrivait de penser. Bref, j'ai quitté cette famille très vite. J'ai commencé à ne plus supporter d'entendre mon père dire que les juifs étaient une abomination vers 12 ans, et j'ai fugué de chez moi à 14 ans avec un sac à dos et assez d'argent pour pouvoir aller le plus loin possible. Je ne voulais pas être fille de nazi. Je suis partie à Stuttgart, et j'y ai galéré pendant deux ou trois mois, à vivre de petits vols, à mendier pour ma nourriture et mes vêtements, et a entrer dans des campings par effraction pour me laver. J'évitais comme la peste la police et les services sociaux, même si je ne suis pas convaincue que mes parents aient fait la moindre démarche pour essayer de me retrouver. Quelques mois après mon arrivée à Stuttgart, j'ai fais la rencontre d'un groupe de vieux hippies français, curieux de découvrir l'Europe. Ils sont devenus ma vraie famille.

J'avais un peu plus de 14 ans, quand ils m'ont récupérée dans la rue, et qu'ils ont décidés de s'occuper de moi. Je ne m'appelais pas encore Edwige, à ce moment là, mais Thelma. Thelma Ackermann. Pour pouvoir voyager avec eux, il me fallait une nouvelle identité. Un nouveau nom, pour une nouvelle vie. C'est François, que j'ai très vite considéré comme mon véritable père, qui a trouvé Edwige. Nous avons décidé du « Bürger » très rapidement, après avoir plaisanté sur les noms à connotation gastronomique. Edwige Bürger fut donc trouvé et adopté. Obtenir de faux papiers ne fut pas quelque chose d'aussi compliqué que ce qu'on croit. Il suffit simplement de connaître les bonnes personnes, d'être près à payer la bonne somme, et surtout d'être certains de vouloir recommencer à zéro. Je n'avais pas quinze ans, mais je savais que je ne pouvais pas rentrer chez moi. Car la maison dans laquelle j'avais passé une enfance au mieux banale, pour ne pas dire infâme, n'était pas chez moi. Nous avons réussi à faire en sorte que François soit mon tuteur légal, même si les papiers étaient faux. Tant qu'ils avaient l'air vrais, ça n'avait pas tellement d'importance ; ce n'était qu'une question de logistique, pour que je puisse partir avec le reste du groupe et que je puisse voyager. Je n'ai donc pas fait d'études. À la place, j'ai visité beaucoup de pays, j'ai découvert beaucoup de cultures... Ce n'est qu'à mes 18 ans que François a voulu retourner vivre en France, et s'y installer de façon définitive. Il était vieux, et fatigué ; je pouvais le comprendre. Je l'ai suivi, la relation que nous avions était extrêmement fusionnelle. Il était mon père adoptif, celui qui faisait toujours attention à ce que je ne manque de rien, qui me rassurait sur tout, qui me soutenait, qui m'aimait tout simplement, comme sa propre fille... je n'étais pas encore prête à vivre loin de lui.

Nous nous sommes installés à Lyon. Je ne parlais pas particulièrement bien Français, mais j'avais les bases, et j'ai trouvé un emploi dans un fast-food. François, lui, s'était débrouillé pour toucher des aides de l’État, ce qui nous permettait de vivre correctement dans un appartement décent. J'ai découvert le théâtre, quelques mois après mon installation à Lyon. Le vrai théâtre. Un de mes collègues en était féru, et m'a invité à une représentation, un jour. Je crois que je lui plaisais un peu, mais je dois bien avouer que je ne lui ai pas prêté la moindre attention durant toute cette soirée de découverte et que je suis rentrée chez moi directement après la représentation. Car ça avait été comme une évidence pour moi ; je voulais être comédienne. Je l'avais compris dès les premières minutes de la représentation. Je voulais être sur scène, je voulais jouer, je voulais faire vivre un personnage à travers mon corps... et il fallait que je le dise à François. Naturellement, il m'a aidée. Dès le lendemain, je suis partie m'inscrire pour prendre des cours de théâtre. Ce n'était pas une grande école, elle ne donnait pas de diplômes... mais elle me permettait d'apprendre à jouer. Et c'était tout ce dont j'avais besoin. J'étais douée, sur scène. Je l'étais réellement. Je brillais, lorsque je me trouvais sur les planches. Je savais que j'étais faite pour ça. Je ne savais en revanche pas, à l'époque, que percer dans ce domaine était compliqué. Soutenue par François, j'ai commencé très vite à enchaîner les castings, en priant pour réussir à obtenir un premier rôle. Je ne parvenais qu'à avoir des rôles de figurante, et ça a duré près de trois ans comme ça. Ce n'est qu'à 22 ans que j'ai obtenu un premier rôle ; ce n'était néanmoins pas tout à fait dans le genre de film dans lequel je me voyais tourner à la base. Mais j'étais prête à tout. Je voulais percer dans le cinéma. J'avais très vite compris que percer dans le théâtre relevait de l'exploit sans les diplômes qu'il fallait...

J'ai commencé ma carrière dans l'industrie de la pornographie. Rien de très glorieux, mais j'étais enfin derrière les caméras. Et j'ai rencontré mon premier mari, derrière ces caméras, d'ailleurs. Il était mon partenaire sur mon premier film. Nous avions eu un coup de foudre, probablement au moment où je devais faire semblant de jouir comme je n'avais jouis de ma vie. Et après notre première journée de tournage ensemble, nous sommes partis boire un café. Huit mois après ce café, nous nous sommes mariés. Et à 24 ans, je donnais naissance à ma première fille, Lorelei, qui m'avait valu de mettre ma « carrière » entre parenthèse pendant quelques mois. La relation que j'entretenais avec Thomas, mon mari, était particulière. Vu notre métier, il nous était impossible d'avoir une relation exclusive, mais nous étions d'une jalousie maladive l'un et l'autre. Tellement qu'il m'étouffait autant que je devais l'étouffer. En dehors des tournages, je n'avais le droit de parler à personne si ce n'était à François. Ce dernier, du haut de ses 94 ans, n'était d'ailleurs pas au courant du métier que j'exerçais. Je lui disais que j'avais réussi à devenir actrice, que le film dans lequel je jouais n'allait pas tarder à sortir au cinéma, qu'il était simplement compliqué et que le tournage s'éternisait à cause de ça. Je ne voulais pas qu'il sache que je couchais avec des hommes et des femmes derrière des caméras pour contenter des pervers qui achetaient les films et qui se touchaient devant. François est décédé d'une attaque cardiaque cinq mois après la naissance de Lorelei, me laissant seule dans une relation malsaine. Et la naissance de ma fille n'a rien arrangé. Thomas devenait presque psychotique, me reprochait sans cesse des choses. Je n'avais même plus le droit de regarder qui que ce soit, je n'avais pas le droit de parler aux acteurs avec lesquels je tournais. Je n'avais plus de vie. Je devais tourner, rentrer, m'occuper de notre fille. Je n'avais le droit de rien de plus. Très vite, j'ai commencé à avoir en tête l'idée de divorcer et de partir loin avec Lorelei. J'avais fuis un tortionnaire durant mon adolescence, je ne voulais pas que ma fille grandisse en ayant un pour père. J'en ai parlé avec mon agent, je lui ai expliqué ma situation ; il n'a pas mis très longtemps à me trouver quelque chose aux États-Unis. Un an après la naissance de ma fille, à 25 ans, j'ai fais tous les papiers du divorce, j'ai pris ma fille et j'ai déménagé à New York pour recommencer ma vie, encore une fois. J'avais peur que Thomas me retrouve, mais mon agent me couvrait, et j'ai pu vivre plus ou moins sereinement. Du moins, j'ai pu élever ma fille comme il le fallait, et Lorelei n'a jamais manqué de rien.

Je suis sortie de la pornographie à 28 ans, alors que Lorelei en avait quatre. Concilier une vie de mère célibataire et une vie d'actrice porno était quelque chose de compliqué, d'autant plus lorsque certains pères de famille me regardaient avec des yeux exorbités lorsque j'allai chercher ma fille à l'école. Des amateurs de pornographie, certainement, qui devaient regarder ça en douce juste avant que leurs femmes ne rentrent d'un quelconque cours de yoga ou de fitness. Enfin, bref. Mon agent, à qui je dois beaucoup maintenant que j'y pense, à réussi à me trouver un rôle dans un film érotique à gros budget. J'avais une certaine renommée dans le secteur et le réalisateur n'a pas hésité à me confier le rôle principal. J'en avais presque oublié comment il fallait faire pour jouer, à force de devoir simplement rendre excitant l'acte sexuel à l'écran. Mais finalement, mes mécanismes de comédienne sont revenus très vite, et les scènes osées de mon premier film érotique me paraissaient être un véritable jeu d'enfant. Je m'attachais davantage aux personnages que j'incarnais... je commençais à me rapprocher de ce que je voulais faire ; jouer. J'ai très vite enchaîné les premiers rôles dans divers films érotiques, et je crois que ça me plaisait beaucoup. Et un jour, je devais avoir 35 ans, un producteur m'a repérée et m'a proposé un second rôle dans un film grand public, avec quelques scènes dénudées. J'ai sauté sur l'occasion. Je me suis retrouvée à partager l'écran avec un acteur très connu ; et je n'ai pas partagé que l'écran avec lui. Je suis devenue sa maîtresse, quelques mois seulement, mais quelques mois qui m'ont suffit à tomber enceinte. À 36 ans, je suis donc devenue maman pour la seconde fois. Un petit garçon, d'aujourd'hui douze ans. Et quand cet acteur s'est en rendu compte, il a coupé court à notre petite histoire et n'a bien sûr pas voulu reconnaître le gamin que j'avais dans le ventre. Lorelei avait douze ans à l'époque, et je me retrouvais toute seule avec deux enfants ; autant dire qu'il me ne restait plus beaucoup de temps pour moi. Heureusement, deux mois après la naissance de William – mon fils – j'ai rencontré mon second mari. Il était chef opérateur sur un tournage où j'avais obtenu un second rôle et était âgé de 27 ans lors de notre rencontre. Notre différence d'âge ne me dérangeait pas, et visiblement, lui non plus. Je suis tombée réellement amoureuse de lui ; il était très différent des hommes que j'avais connu jusque là. Il était doux, prévenant, il avait accepté mes enfants sans faire d'histoire et Lorelei l'adorait. Il s'appelait James, et avait tout de l'homme équilibré dont j'avais toujours rêvé. Et James a donné un gros coup de pouce à ma carrière, en m'obtenant un premier rôle dans un film indépendant qui a eu un succès phénoménal. Ce premier rôle est arrivé quand j'avais 39 ans, et ma carrière a décollée à ce moment là. Mais le problème, avec le succès, c'est qu'il repart aussi vite qu'il n'arrive.

Pendant un an, j'ai goûté aux joies du succès. J'étais connue, j'étais invitée sur des plateaux télé, on disait que mon parcours avait dû être difficile... mais le second film dans lequel j'ai eu un premier rôle a été un fiasco total, et mon passé d'actrice pornographique a refait surface. Les critiques étaient cruelles avec moi. Le public l'était tout autant. A 41 ans, je suis tombée en dépression et j'ai commencé à faire n'importe quoi, comme tromper James, par exemple. Je le tenais pour responsable de ce qui m'arrivait, et je voulais me venger. Je sais que j'ai été stupide. Et quand il m'a retrouvé au lit avec un autre homme, tout s'est effondré. J'avais 42 ans, une fille de 18 ans et un fils de 6 ans. Et il a demandé le divorce. Je me suis retrouvée sans rien. James acceptait juste de me verser une pension alimentaire pour William et de payer une grosse partie des études de Lorelei ; il tenait à mes enfants comme s'il s'agissait de ses propres enfants, et c'est encore le cas aujourd'hui. Pour le reste, je devais me débrouiller seule. J'avais mis de l'argent de côté, fort heureusement, mais il est parti très vite, surtout en alcool à vrai dire. C'est Lorelei qui a fini par me secouer, par me dire que je n'avais pas le droit de baisser les bras comme j'étais en train de les baisser depuis mon divorce, que William avait besoin d'une mère et qu'elle était prête à m'aider à reprendre ma vie en main. Je crois que sans ma fille, je ne serai plus de ce monde aujourd'hui. Nous avons déménagé à Sacramento, pour quitter New York et la vie que je connaissais, en s'arrangeant avec James pour qu'il puisse venir une semaine par mois dans un appartement pas loin de chez nous pour pouvoir prendre William de temps – William, qui considère James comme son père et qui m'en voudrait si j'essayais de l'empêcher de le voir. Et c'est Lorelei qui a fini par tomber sur un offre d'emploi dans une université pas loin de chez nous ; la Monroe University. Elle cherchait un professeur de théâtre, j'ai postulé et j'ai obtenu le poste surtout grâce au fait que le directeur avait vu certains de mes films. J'ai fait ma première rentrée en tant que professeur dans cette université de la seconde chance en Août 2014... et je n'aurais jamais cru m'épanouir autant dans le rôle de professeur. Mais les faits sont là ; ce travail m'aide beaucoup. Il me permet de me rendre compte que je suis capable de faire des choses, de transmettre des choses... et puis, grâce à lui, je peux aider mes étudiants à ne pas faire les erreurs que j'ai pu faire dans ma carrière... Et je crois que ça, c'est le plus important pour moi.
People always say that I'm...

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Behind the screen
Sinon, pour de vrai je m'appelle Marine, mais vous pouvez m'appeler Absol. J'ai 23 ans et (presque) toutes mes dents ! (: Côté présence, je pense être là 6/7 jours. J'ai connu le forum grâce à facebook, mais j'ai déjà deux comptes et depuis, ma vie a changé !
Je tiens à indiquer que les images que j'ai utilisées viennent de Bazzartet que leur créateur s'appelle LOKIDDLES.


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Dernière édition par Edwige Bürger le Mar 16 Aoû - 22:47, édité 5 fois
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MessageSujet: Re: Edwige ▬ La vie, c'est comme une putain de blague ; alors tu te tais, tu ris et tu avances. Edwige ▬ La vie, c'est comme une putain de blague ; alors tu te tais, tu ris et tu avances.  EmptyMar 16 Aoû - 20:40

Oh une allemande !

Re pienfenue ja !
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MessageSujet: Re: Edwige ▬ La vie, c'est comme une putain de blague ; alors tu te tais, tu ris et tu avances. Edwige ▬ La vie, c'est comme une putain de blague ; alors tu te tais, tu ris et tu avances.  EmptyMar 16 Aoû - 20:48

Edwige ▬ La vie, c'est comme une putain de blague ; alors tu te tais, tu ris et tu avances.  3177719638

Merciii !
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MessageSujet: Re: Edwige ▬ La vie, c'est comme une putain de blague ; alors tu te tais, tu ris et tu avances. Edwige ▬ La vie, c'est comme une putain de blague ; alors tu te tais, tu ris et tu avances.  EmptyMer 17 Aoû - 1:04

HELENAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA CA C'EST DU CHOIX AFVGCBHDJVFGVHJ Edwige ▬ La vie, c'est comme une putain de blague ; alors tu te tais, tu ris et tu avances.  3315963846

REREBIENVENUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUE !!! Edwige ▬ La vie, c'est comme une putain de blague ; alors tu te tais, tu ris et tu avances.  3638637074

Bonne chance pour cette nouvelle fichette ! Edwige ▬ La vie, c'est comme une putain de blague ; alors tu te tais, tu ris et tu avances.  195634372
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MessageSujet: Re: Edwige ▬ La vie, c'est comme une putain de blague ; alors tu te tais, tu ris et tu avances. Edwige ▬ La vie, c'est comme une putain de blague ; alors tu te tais, tu ris et tu avances.  EmptyMer 17 Aoû - 22:22

(Re?)Bienvenue ! :3
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Fondatrice Adulée
Autumn M. Grey
Autumn M. Grey
Féminin Etats-Unis
» Âge : 25
» Célébrité : Emilia Clarke
» Métier/Job : Co-présidente des Free Minded
» Cursus : Artistique, spécialité Arts Visuels
» Grade : Etudiant(e) en 3ème année
» Relations :
KieranEx, père de Lyanna. LyannaMa fille,ma vie.

» Points d'assiduité : 119
» A Sacramento depuis : 09/08/2016

MessageSujet: Re: Edwige ▬ La vie, c'est comme une putain de blague ; alors tu te tais, tu ris et tu avances. Edwige ▬ La vie, c'est comme une putain de blague ; alors tu te tais, tu ris et tu avances.  EmptyJeu 18 Aoû - 9:12

C'est quand même dingue : je me connecte 30 sec sur le forum avant d'aller m'occuper de mon ménage/rangement/déménagement/valise etc et je suis là, presque 20 minutes plus tard complètement fan d'Edwige après avoir lu son histoire ! Edwige ▬ La vie, c'est comme une putain de blague ; alors tu te tais, tu ris et tu avances.  285882454 J'adore ce nouveau personnage que tu as choisi d'incarner et il me tarde déjà de jouer avec elle ! Edwige ▬ La vie, c'est comme une putain de blague ; alors tu te tais, tu ris et tu avances.  100788031 Donc officiellement, je te di re-re-re-bienvenue chez toi ! Razz
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MessageSujet: Re: Edwige ▬ La vie, c'est comme une putain de blague ; alors tu te tais, tu ris et tu avances. Edwige ▬ La vie, c'est comme une putain de blague ; alors tu te tais, tu ris et tu avances.  EmptyJeu 18 Aoû - 10:38

Merciiiii à vous Edwige ▬ La vie, c'est comme une putain de blague ; alors tu te tais, tu ris et tu avances.  285882454

Kieran ; C'est bien un rebienvenue, oui ! ^^

Nich ; Edwige ▬ La vie, c'est comme une putain de blague ; alors tu te tais, tu ris et tu avances.  3177719638 Je ne suis même pas désolée de t'avoir fait perdre 20 minutes comme ça ! Edwige ▬ La vie, c'est comme une putain de blague ; alors tu te tais, tu ris et tu avances.  3177719638
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