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KENNETH •• Passion is what we all seek in this life

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AuteurMessage
Fondatrice Adulée
Kenneth B. Washington
Kenneth B. Washington
Masculin Etats-Unis
» Âge : 38
» Célébrité : Daniel Gillies
» Métier/Job : Professeur à Monroe U.
» Grade : Professeur titulaire
» Relations :
StellaMa femme. Tu partages ma vie depuis bientôt 10 ans. Je ne saurais pas vivre sans toi.

AmelyaCette soirée, ces regards échangés, ces verres partagés et ces fous rires que tu as provoqué chez moi. Tu m'as touché d'une certaine manière, et je ne parviens plus à te chasser de mes pensés...

» Points d'assiduité : 584
» A Sacramento depuis : 24/07/2012

MessageSujet: KENNETH •• Passion is what we all seek in this life KENNETH •• Passion is what we all seek in this life EmptyMer 22 Juin - 15:30


Kenneth Byron Washington
38 ans ∞ San José, CA ∞ Américain ∞ Professeur de Journalisme ∞ Marié ∞ Frenzied Teacher ∞ Daniel Gillies

x x x

How I made a mess of my life
Kenneth est né dans la jolie ville de San José, en Californie, dans une famille renommée de la région. Magnat des affaires, le père Washington avait assuré la prospérité de sa famille en investissant habillement dans divers milieux, tels que la politique ou les médias.

Enfant assez discret, il est bon élève et fait la fierté de ses parents. Il mène une vie sans histoire jusqu'à la fin du lycée.

Avec les filles, Ken’ se montre, comme souvent, très prudent. Peu assuré à cette période de sa vie, il n'a eu qu'une seule petite-amie au lycée, avec qui il est resté un an et demi. Cette rupture, bien que de son fait, a été très douloureuse pour lui. Idéaliste dans l'âme, il se serait bien vu faire sa vie avec cette jeune fille, mais il n'avait pas encore compris qu'à 17 ans, les choses sont rarement définitives…

A la fin du lycée, il intègre naturellement l'Université de Californie, UCLA. Il doit donc quitter sa famille pour s'installer à Los Angeles. A 18 ans, il a le goût de l'aventure et s'installer à des centaines de kilomètres de chez lui ne l'effraie absolument pas. Il s'installe sur le campus de l'Université et s'inscrit en cursus Journalisme. Étudiant brillant, il ne tarde pourtant pas à découvrir l'univers déroutant de l'université et des fraternités étudiantes. Ken’ se révèle alors dans les soirées de sa confrérie et s'avère être un véritable tombeur. Il multiplie les conquêtes d'un soir, ne souhaitant plus se caser, mais plutôt profiter de ses années de célibataire-étudiant au maximum.

Quelques années plus tard, il obtient son diplôme en Journalisme, mais plutôt que de chercher un job, il décide de poursuivre une thèse, afin de devenir enseignant lui-même, contre l’avis de son père qui ne rêve que de le voir rejoindre l’une des entreprises familiales. Il se relance alors pour deux ans d'étude supplémentaire afin de réaliser son projet. Il est alors âgé de 26 ans et continue de fréquenter l'université de manière ponctuelle, surtout pour s'entretenir avec son Maître de Thèse, le Pr. Dawson, lui-même enseignant en journalisme, en spécialité Politique et Relations Internationales.

C'est à cette période qu'il rencontre sa femme. Ken’ s'apprêtait à pénétrer dans le bureau du Pr. Dawson lorsque la jolie brune en sortit, furieuse, en le bousculant. Ken’, agacé qu'on le bouscule sans ménagement, n'avait alors pas remarqué que la jeune femme avait changé d'expression lorsque leurs regards se croisèrent. Il était alors trop concentré sur son entretien avec le Pr. Dawson : il devait lui faire part de la fin de ses travaux, et lui remettre le manuscrit final de sa thèse afin qu'elle soit validée.

Ce n'est qu'à la sortie du bureau du professeur qu'il s'aperçu que la jeune fille furieuse de tout à l'heure était encore là. L'entretien avait pourtant duré une bonne heure, mais ça ne semblait pas avoir dérangé la jeune femme.

- Je t'ai pris un café, pour me faire pardonner la bousculade de tout à l'heure, dit-elle en lui tendant un gobelet.

Ken’ s'en saisit sans trop comprendre ce qu'il se passait.

- Désolée, il est un peu froid maintenant.

L'histoire aurait très bien pu s'arrêter là. Ken’ ne cherchait pas à rencontrer du monde. Il en fréquentait bien assez grâce à sa fraternité. De plus, la jeune fille paraissait bien jeune, ce qui n'était pas pour rassurer Ken’. Pourtant, et malgré la réticence de Kenneth à faire plus ample connaissance, la jolie brune parvint à ses fins. Très vite, ils devinrent amis et se découvrirent de nombreux points communs. Ken’ se refusait à aller plus loin avec elle, effrayé par leur différence d'âge de 8 ans, doublée par la crainte de détruire leur si belle amitié. C'était la première fois pour Ken’ qu'il construisait une relation aussi solide avec une personne du sexe opposé.

Pourtant, presque un an après leur rencontre, l'impensable de produisit. La jolie brunette, sûrement lassée d'attendre que Ken’ fasse enfin un pas vers elle, avait entrepris de se lancer dans une nouvelle histoire, avec un dénommé Tom ou Tim, peu importe. Bien sûr, l'annonce de cette nouvelle réveilla en Ken’ des sentiments qu'il s'était jusqu'à lors attaché à faire taire.

- Tu crois vraiment que tu as un avenir avec ce type ? lui demanda-t-il, assis dans son canapé tandis que la brune se servait dans son frigo. Avec un nom pareil en plus, Tim ? Pfff. Le diminutif pour Timoty ou Timbécile ?

Il lâcha un petit rire, satisfait du début de sa campagne de démolition de l'adversaire.

- Il s'appelle Ted. Diminutif de Theodore. Prénom de son père…

-Pfff ouais, encore un gosse de bourge avec un numéro après son prénom.

- Prénom de son père qui est décédé. Et qu'il n'a pas connu.

Ken’ se sentit perdre toute contenance.

- Ah, lâcha-t-il simplement, avant de se renfrogner dans le canapé.

La jeune femme vint alors s'installer à côté de lui. Elle le regarda en souriant légèrement.

- Dis-moi, ce serait pas une pointe de jalousie que je décèlerais là ?

Pour seule réponse, Ken’ se contenta de fixer longuement la jeune femme, avant de l'embrasser. Ce baiser, intense et passionné, était cependant mûrement réfléchi. Ken’ savait qu'il n'avait que trop tardé.

- J'ai cru que tu ne te déciderais jamais, murmura-t-elle avant de prolonger leur étreinte.

C'est ainsi que leur histoire a véritablement commencé. Après cela, tout s'est enchaîné très vite. Ne souhaitant plus faire la même erreur, il ne fallut que quelques mois à Ken’ pour faire sa demande. Il se marièrent moins d'un an après s'être mis en couple, alors que la jolie jeune femme était encore étudiante.

Ken’, quant à lui, avait terminé ses études et avait obtenu un poste d'enseignant stagiaire à UCLA. C'était un véritable accomplissement pour lui que de pouvoir enseigner là où lui-même avait fait ses études. Il était animé d'une joie tenace et d'une envie tonitruante d'enseigner. Ses premières années à UCLA étaient fantastiques ; les élèves se pressaient pour assister à ses cours qu'il savait rendre interactifs et divertissants. Pendant ce temps, son épouse avait quant à elle terminé ses études de Psychologie et avait ouvert un petit cabinet près de Santa Monica.

Le couple vivait une vie paisible, heureux ensemble. Ken’ était un professeur respecté à UCLA. Il prenait plaisir à aller en cours et à aider ses élèves du mieux qu'il le pouvait. Toutefois, dans toute classe il y avait toujours des éléments perturbateurs. La plupart du temps, Kenneth savait comment les rappeler à l'ordre et, s'il ne parvenait pas toujours à obtenir leur respect, il se faisait craindre.

Les demoiselles était son public le plus attentif et appliqué. Il faut bien avouer que le trentenaire n'est pas des plus déplaisants à regarder. Mais dans cette classe de Journalisme appliqué à la politique locale, Ken’ avait rencontré un problème auquel il n'avait jusqu'à lors jamais fait face.

Trois jeunes filles au physique avantageux s'étaient apparemment mises en tête d'obtenir de Kenneth un certain nombre de faveurs et pour se faire, elles se montraient extrêmement provocantes envers le jeune professeur. Ken’, homme fidèle et droit, avait toujours décliné ces avances, ne manquant jamais une occasion de remettre les jeunes demoiselles à leur place, dans les règles de l'art. Mais lorsque vint le moment de noter les jeunes filles, Ken’ fut forcé de constater qu'il ne pouvait pas leur mettre la moyenne : les jeunes filles n'avaient rendu presque aucun devoir et le peu qu'il avait pu obtenir s'était avéré être creux et sans intérêt. Derrière son ordinateur, il réfléchit longuement à ce qu'il devait faire. Mais au fond le lui, son avis était déjà tranché : elles méritaient un C-, elles auraient un C-.

Les jours passèrent avant que les notes ne furent dévoilées aux étudiants, et Ken’ avait presque oublié tout ça. Les vacances d'été approchaient et il avait prévu d'offrir à sa femme un voyage surprise dans une destination exotique. Le Mexique peut-être ? Ou bien alors Cuba ? A moins qu'elle ne préfère Hawaï…

Un coup de téléphone pressant le ramena alors à la réalité. C'était le Doyen de l'université. Ken’ était convoqué séance tenante dans son bureau. Il n'avait pas voulu lui en dire plus au téléphone et cela inquiétait quelque peu Kenneth. Il avait toujours entretenu de bonnes relations avec le Doyen de UCLA et ce dernier avait toujours été satisfait de son travail et de la qualité de ses cours.

Avec la boule au ventre, Kenneth frappa à la porte du bureau du Doyen. Une voix rauque venant de l'intérieur l'invita à entrer. Il poussa la lourde porte en chêne massif et l'espace d'un instant, il resta pétrifié… Dans le bureau du Doyen étaient présente, l'air grave, les trois jeunes filles à qui il n'avait pas mis la moyenne. Qu'est ce qu'elle foutaient là ? Venir se plaindre de ses notes au Doyen, alors qu'elle savent très bien qu'elles n'ont fourni aucun effort, c'était un peu gonflé !

Ken’ s'installa sur la chaise qui lui avait été réservée à gauche du bureau, et les jeunes filles se décalèrent brusquement vers la droite. Ken’ leva les yeux au ciel, consterné.

- Doyen Thompson, j'ignore ce qu'elles ont pu vous dire mais le C- que je leur ai attribué est l'exact reflet de leur travail au cours de…

Le vieil homme lui coupa alors la parole.

- Ce n'est pas pour cette raison que vous êtes là, Pr. Washington.

Il marqua une pause avant de reprendre.

- Vous êtes ici pour répondre des accusations que ces demoiselles ont porté à votre encontre…

- De quelles accusations parlez-vous ?

Kenneth adressa un regard noir aux jeunes filles. Elles baissèrent les yeux et l'une éclata en sanglot. Ken’ avait de plus en plus de mal à comprendre ce qui était en train de se passer.

- Ces jeunes filles vous accusent de harcèlement. Et elles ont de quoi le prouver, apparemment.

Le Doyen fit glisser sur le bureau une petite pile de feuilles retournées, l'air accusateur. Kenneth s'en saisit et retourna les documents. Il resta sans voix.

Devant lui, des photos le montraient souriant et semblant flirter avec chacune de ces jeunes filles. Bien sûr, il ne fallut que quelques secondes à Ken’ pour comprendre qu'elles étaient sorties de leur contexte : Ken’ ne tentait pas de se rapprocher d'elles, mais plutôt de les éloigner, avec cynisme parfois, ce qui expliquait son sourire sur les photos. Il tourna les pages les unes après les autres et découvrit des échanges de mails salaces. Kenneth resta sans voix. Il n'avait jamais écrit ces horreurs et pourtant, la capture d'écran qu'il avait sous les yeux prouvait bien le contraire… C’était bien son adresse mail de l’Université qui y figurait lisiblement.

- Monsieur le Doyen Thompson, tout cela est scandaleux et grotesque ! Jamais je n'irais compromettre ma carrière d'enseignant d'une manière aussi abjecte ! Elles mentent, c'est évident !

Kenneth s'était levé et sa voix avait éclaté dans le bureau. Réalisant son erreur alors que le Doyen lui adressait un regard noir, il se rassit. La suite de l'entretien ne fut guère plus glorieuse. Le Doyen énonça les différentes options qui s'offraient à chacun. Il tenait absolument à éviter que le scandale ne soit porté devant les tribunaux. La solution proposée fut que Kenneth devrait démissionner et qu'en échange de leur silence, elles se verraient modifier leurs notes afin de passer en classe supérieure. Alerté, le père de Kenneth, de qui il avait toujours refusé la moindre donation, s’engageait à verser aux jeunes filles de quoi terminer confortablement leurs études. Les photos devraient bien sûr être détruites et l'histoire serait enterrée… Kenneth n'eut d'autre solution que d'accepter, et il dût libérer son poste séance tenante.

Il était furieux, consterné et abattu à la fois. Il quitta le campus, ses affaires dans un carton, la mine défaite. Cliché de prof licencié. Sur le campus, bien sûr, le bruit s'était déjà répandu. « C'est le Pr. Washington… Il parait qu'il a couché avec des élèves. Non, il est accusé de viol, c'est pour ça qu'il s'en va ! Il paraît même qu'il a pris des photos et des vidéos ! Quel porc… » Ken’ tentait de ne pas entendre, mais comment faire ? Il fila droit à sa voiture et rentra chez lui. Il fit le trajet, se libérant de sa hargne avec des larmes.

Arrivé chez lui, il s'effondra dans les bras de sa femme. Celle-ci le soutint et lui apporta tout le réconfort possible. A aucun instant elle ne douta de lui, ni même ne lui posa de question afin de s'assurer de son innocence. Elle se contenta d'être présente et de continuer à l'aimer et croire en lui, ce qu'elle avait toujours fait depuis leur rencontre.

Les semaines passèrent et Ken’ tentait de remonter la pente. UCLA ne voudrait plus jamais de lui, et la rumeur s'était étendue et le poursuivait désormais. Il était grillé dans toutes les universités des environs. Qui serait assez fou pour engager un présumé violeur ? Ken’ avait presque perdu pied, sous les yeux de sa femme qui demeurait impuissante face à son désarroi. Il n'était plus que l'ombre de lui-même. L'espace d'un instant, il envisagea même de chercher dans le domaine pur du journalisme. Mais ce n'était plus sa vocation. Après avoir découvert les joies de l'enseignement, il lui paraissait inconcevable de devoir y renoncer.

Son père lui, loin d’être ravie, était pourtant satisfait que les rêves d’enseignement de son fils unique soient tombés à l’eau. Peut-être serait-ce l’occasion de voir revenir le fils prodigue au sein de l’entreprise ? Ken’ s’y refusait pourtant. Au fond de lui, ses espoirs d’enseigner de nouveau n’étaient pas morts.

C'est un coup de téléphone qui relança ses espoirs. Ken’ s'était enivré la veille. Il était sorti avec un de ses meilleurs amis, soutien indéfectible depuis la fac, et en guise de thérapie il s'était mis minable. Son ami l'avait ramené chez lui, dans un état second.

Il était 14h lorsque le téléphone sonna, réveillant tant bien que mal le trentenaire. Il décrocha, la voix rauque et la bouche pâteuse.

- Allo ?

- Bonjour, pourrais-je parler au Pr. Washington ?

- Pas de professeur digne de ce nom ici, lâcha-t-il encore dans le brouillard.

- Je cherche à joindre Kenneth Washington, ce n'est pas vous ? insista la voix.

Ken’ se ressaisit, comprenant qu'il s'agissait de quelque chose de sérieux.

- Si, c'est moi, dit-il en se redressant tant bien que mal sur son lit. C'est juste que je n'exerce plus, donc le titre de Professeur me sied mal...

- Peut-être que je peux vous aider dans ce cas, si vous souhaitez récupérer votre titre, fit-la voix.

L'homme au téléphone était le Doyen de l'Université Monroe. Jusqu'à lors, Ken’ n'en avait jamais entendu parler. Il s'agissait d'une petite université sans gloire, située à Sacramento. Le Doyen lui proposait un poste de Professeur : il était actuellement à la recherche d'une équipe pédagogique afin de créer une filière Journalisme au sein de l'université. Tout cela paraissait trop beau à Ken’ pour être vrai.

- Vous souhaitez me recruter, moi ? demanda-t-il maladroitement. Peut-être devrais-je vous informer avant toute chose de la raison qui…

L'homme au téléphone lui coupa la parole.

- Je sais déjà, Pr. Washington, pourquoi vous ne travaillez plus à UCLA. Un quiproquo fort regrettable, j'en conviens, mais qui fait nos affaires ici, à Monroe. Vous savez, notre université n'est pas des plus prestigieuses non plus. Je vous envoie toute une documentation par mail. Cela vous laisse le temps d'en prendre connaissance et de réfléchir si vous souhaitez nous rejoindre. Le Poste est à pourvoir à la rentrée prochaine.

La conversation était terminée. Encore dans les vapes, Kenneth se rua sur son Macbook et se connecta à sa boite mail. Le mail était déjà là. Il découvrit alors l'Université Monroe, fac de la dernière chance pour ceux qui ne pouvaient prétendre à mieux. Le campus était minuscule, le nombre de filières encore plus, mais après tout, n'était-ce pas là un nouveau challenge à relever ?

Le soir, Ken’ et sa femme eurent une longue discussion. Ken’ lui expliqua tout, le coup de téléphone, le manque de prestige de l'université, mais l'aspect dernière chance pour ces jeunes qui lui plaisait tant. Sacramento était à des centaines de kilomètres de Los Angeles. S’ils devaient y déménager, ils devaient prendre cette décision à deux. La brune aux yeux clairs ne tergiversa pas.

- C'est une chance pour toi, Ken’. Bien sûr que nous partons ! Je pourrais bien rouvrir un nouveau cabinet là-bas.

L'affaire était pliée. Cinq semaines plus tard, le couple prenait l'avion, direction Sacramento, pour s'y installer. Là-bas, Ken’ prit ses nouvelles fonctions et découvrit avec bonheur quelle serait sa nouvelle vie de Prof à Monroe. Sa femme quant à elle, ouvrit son cabinet en ville et obtint même un partenariat avec l'université, afin d'y effectuer des consultations, une fois par semaine.

Kenneth était plus épanoui que jamais, soulagé que toutes ces histoires soient désormais derrière lui, et prêt à vivre sa vie plus intensément que jamais, avec sa femme auprès de lui. Mais les années passant, Ken’ approchait dangereusement de la quarantaine. Toujours pas d’enfant à l’horizon, il ne se sentait pas prêt et repoussait toujours l’échéance de l’arrivée d’un enfant. Il avait également fini par céder à son père, et avait rejoint le conseil de direction de l’une des entreprises familiales.

Pourtant, malgré une vie d’apparence parfaite, Kenneth ne parvient pas à se satisfaire de ce qu’il a. Il cherche perpétuellement le frisson et les limites. Depuis quelques temps, Ken’ cherche à tester ses limites de séducteur. Après plus d’une dizaine d’année passée en couple, ce n’est pas auprès de sa femme qu’il cherche à les limites de son charisme. Alors le soir, il traine de plus en plus souvent dans certains bars, à la recherche du grand frisson. Mais pas question de tromper sa femme, Ken’ a des principes. Il cherche juste à tester, alors il flirt et fait parfois du rentre dedans à de jolies jeunes femmes, mais sa jamais franchir la ligne jaune. Du moins, pour le moment…
People always say that I'm...

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Behind the screen
Sinon, pour de vrai je m'appelle Audrey, mais vous pouvez m'appeler Ode. J'ai 26 ans et (presque) toutes mes dents ! (: Côté présence, je pense être là 6/7 jours. J'ai connu le forum grâce à moi-même (j'en suis la fondatrice) et depuis, ma vie a changé !
Je tiens à indiquer que les images que j'ai utilisées viennent de Bazzart et que leur créateur s'appelle UnderCo..


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