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Ayanna ▬ I don't feel anything.

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MessageSujet: Ayanna ▬ I don't feel anything. Ayanna ▬ I don't feel anything.  EmptyMar 19 Juil - 20:14


Ayanna Atkins
18 ans ∞ Sacramento, Californie ∞ Américaine ∞ Cursus Général, 1ère année ∞ Célibataire ∞ Jodelle Ferland

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How I made a mess of my life
D'aussi loin que je puisse me souvenir, je n'ai presque jamais rien ressenti. Pas de tristesse, pas de colère, pas d'amour, pas de jalousie, pas d'amertume, pas de joie, pas d'exaltation, pas de peur... rien. Comme si mon cerveau était bloqué. Comme si ma vie n'était qu'une succession de faits et d'actes. Mais pas de sentiments. J'ai toujours eu l'impression d'être vide. Je ne mange pas par envie, je mange par nécessité, par exemple. Je ne me lie pas spécialement avec les autres, je fais semblant. J'essaie de paraître normale, la plupart du temps. Et ça aurait pu ne pas être problématique, dans une certaine mesure. Après tout, cela n'impactait que moi, du moins ça n'a impacté que moi pendant une certaine partie de ma vie. J'étais simplement plus difficile à surveiller que les autres enfants, d'après les dires de mes parents. Je ne craignais pas de me blesser, je n'avais pas peur de me faire enlever, je n'avais peur de rien. Ce qui les sauvait – ce qui me sauvait – était cette absence de curiosité. Je n'avais pas besoin d'aller explorer ; je m'en fichais. Est-ce une sensation, de ne rien en avoir à faire de quoi que ce soit ? Si l'on venait me demander de jouer, j'allai jouer. Si on ne venait pas, je restais assise, et je fixais le vide. J'ai toujours été comme ça. Je le suis simplement moins, aujourd'hui. Le problème, c'est que si l'on me disait d'escalader quelque chose, je le faisais. Si on m'avait dit de sauter de quinze mètres, je l'aurais fait. Alors, mes parents ont fini par ne plus vouloir que je sorte. Eux avaient peur. Je n'ai jamais compris ce qu'était la peur.

Mes parents avaient eu un autre enfant, avant moi. Une fille, aussi. Ma sœur, Ciara, le parfait opposé de moi. Hypersensible, qui ressentait tout au centuple. Je n'ai jamais réussi à comprendre cette fille. J'ai essayé, pendant longtemps. Mais je n'ai jamais réussi à la comprendre. Elle pleurait, tout le temps. Ou elle riait. Elle ne faisait que ça, pleurer et rire. Je ne comprenais pas l'intérêt. Quand elle m'expliquait qu'elle était heureuse ou triste, je me contentais de la regarder et de dire « D'accord. » : Ciara a vite fini par me détester. Moi, je me fichais juste de son existence. Elle avait six ans de plus que moi, elle avait l'avantage physique. Si mes parents étaient un exemple d'amour et de tolérance, Ciara était un démon déguisé en ange. La première fois qu'elle m'a frappé, j'avais cinq ans. Je ne me souviens plus pourquoi, je me souviens juste que les coups font mal. Rien de plus. Ça ne m'a pas blessé moralement, ça ne m'a pas fait peur, ça ne m'a pas atteint. Elle m'avait juste frappé, et j'avais haussé les épaules avant de m'asseoir à côté d'elle. Je crois qu'elle a pris ça pour une invitation à me prendre pour son punching-ball. Mais quelle importance ça pouvait bien faire ? Mes parents n'étaient pas au courant, elle me disait que je n'avais pas le droit de leur dire. Alors je ne leur disais rien. Quelle importance, de toute façon ? Je crois que les gens ont longtemps cru que j'étais manipulable ; la vérité, c'est que depuis que je sais le faire, j'ai toujours fait en sorte de m'adapter aux gens. Mais voilà à quoi a ressemblé ma petite enfance ; je n'avais pas le droit de sortir, et ma sœur me battait.

L'école a changé beaucoup de choses, pour moi. Au départ, ce fut comme tout le reste ; je m'en fichais. Lorsque mes parents m'ont dit qu'il fallait que j'aille à l'école, je me suis juste contentée de leur dire « D'accord. » mais je ne ressentais aucun attrait pour ça. La plupart des autres enfants sont stressés à l'idée de quitter leur maison, de passer leurs journées loin de leurs parents, avec des inconnus. Pour moi, ça n'avait pas d'importance. Mais l'école est devenue la première – et la seule – chose m'ayant fait ressentir quelque chose. Cela a été étonnement rapide, dès la seconde journée, lorsque mon institutrice a commencé à m'apprendre des choses. Des choses utiles, comme lire. C'était étrange, pour moi, d'être intéressée par quelque chose.  C'était éphémère, dès que je rentrais à la maison, je redevenais moi-même. Ciara me frappait, je ne pleurais pas, je faisais mes devoirs avec désintéressement... Mais le lendemain, je courrais presque pour aller à l'école. Là où les choses sont devenues compliquées, ce fut lorsque j'ai dû passer des visites médicales à l'école. L'infirmière scolaire a bien vu les bleus sur moi. Et quand elle m'a demandé ce qui s'était passé, j'ai juste répondu « Rien. » naturellement : Ciara m'avait dit de ne rien dire. Mais une enquête sociale fut ouverte, naturellement. On ne laisse pas un enfant couvert de bleus face à lui-même, à ce qu'il paraît. Et j'avais beau leur dire que ce n'était pas grave et que je m'en fichais, ils ne me croyait pas. J'ai juste demandé si ça voulait dire que je devais arrêter d'aller à l'école, ils m'ont dit non, alors j'ai dis qu'ils avaient le droit de faire ce qu'ils voulaient. J'avais sept ans, le jour où l'assistant social est venu à la maison. Ciara en avait 13, et en le voyant, elle a eu peur et elle a tout avoué. Je savais que ça voulait dire qu'elle n'allait plus me frapper, je crois que j'étais censée être heureuse. Mais je n'ai rien ressenti du tout.

Ciara a été obligée de voir un psychiatre, et notre famille a été placée sous la tutelle de l'assistant social. Moi, tout ce qui m'intéressait, c'était d'aller à l'école, et d'apprendre. Mais plus encore, je voulais apprendre mieux que les autres, plus vite, je voulais être au-dessus de tout le monde. Parce que c'était la seule chose qui avait de l'importance pour moi. J'étais une élève excellente. On a même voulu me faire passer une classe, mais mes parents ont refusés. Tant que j'étais à l'école, je me fichais bien de passer ou non une classe. Je voulais juste être à l'école. Je voulais juste écraser mes camarades pour qu'ils n'aient jamais des résultats aussi bons que les miens. Et au départ, ce n'était jamais rien de méchant. Je racontais des petits mensonges, pour détourner leur attention, je m'amusais presque à les manipuler. J'avais compris que les gens fonctionnaient comme ça ; que quand ils avaient l'esprit occuper par quelque chose, ils ne pouvaient pas se concentrer. Et ça a fonctionné un bon moment. Jusqu'à mes dix ans, environ. Jusqu'à ce qu'un nouveau arrive dans ma classe. Un nouveau qui était intelligent, bien plus intelligent que moi... Et je n'ai pas parlé de Ciara et de sa maltraitance pour rien ; elle a été mon exemple, lorsque la situation a commencé à m'échapper. Ce garçon ne croyait pas à mes mensonges. Ce garçon ne se laissait pas manipuler comme je le voulais. Ce garçon m'a fait connaître un sentiment plus fort que n'importe quel sentiment ; la rage.

Il est la première personne que j'ai haïs. Et Ciara m'avait montré que lorsque l'on ressentait ça pour quelqu'un, il fallait le frapper. Alors, j'ai attendu qu'on soit seuls dans la classe lui et moi, et j'ai frappé ce garçon, avec un gros dictionnaire, sur le visage, jusqu'à ce qu'il tombe par terre. Et une fois qu'il était par terre, j'ai continué. J'ai continué jusqu'à ce que son visage ne soit plus qu'un amas de chaire sanglante, jusqu'à ce qu'il ne bouge plus. J'ai cru que je l'avais tué, je m'en fichais, je suis juste retournée m'asseoir à ma place et j'ai attendu la fin de la récréation normalement. Lorsque mon professeur et les autres élèves sont revenus en classe, j'ai entendu des cris, j'ai vu certains de mes camarades pleurer, le professeur être en état de choc. Je ne comprenais pas. On m'a hurlé dessus, et j'ai juste demandé quand le cours allait recommencer. Mais le cours n'a jamais recommencé. A la place, on est venue me chercher, et on m'a emmené dans des bureaux. On me demandait pourquoi j'avais fait ça, je disais que c'était parce qu'il était meilleur que moi. Ce garçon n'est pas mort, mais moi, j'ai été considérée comme dangereuse pour autrui. Je n'ai pas compris. Je ne comprend toujours pas. Mais peu importe. On m'a fait voir un psychiatre, et je pensais juste que je devrais aller le voir toutes les semaines, comme Ciara. Mais non. L'assistant social a dit qu'il fallait que je sois prise en charge. Mes parents ont pleuré. On m'a mis dans un centre éducatif, avec des éducateurs spécialisés, et un psychiatre. Et je n'ai pas eu le droit de retourner à l'école pendant un an ; à la place, j'avais un professeur particulier, qui continuait à faire mon éducation scolaire sans qu'il n'y ai d'autres élèves autour. Moi, ça m'allait très bien.

Je suis donc retournée dans une vraie école à 11 ans. Dans une classe à effectif réduit, avec des débiles. C'était comme ça que je les voyais. Il s'agissait « d'enfants à problèmes » comme moi ; mais dans les faits, ils étaient juste débiles. Alors, ça m'allait. Je pouvais être la meilleure, et je n'ai causé aucuns soucis pendant quatre ans. Je ne savais pas, ceci dit, que mon parcours scolaire atypique était en train de me fermer les portes des grandes écoles. Entre la classe de débiles, et mon dossier médical, je n'avais aucune chance de pouvoir aller dans une grande école de commerce, comme je voulais le faire. Mais je n'en savais rien. C'est à 15 ans que je l'ai appris, lorsqu'un de mes professeurs m'a expliqué tout ça. Je suis devenue littéralement folle. Je n'étais plus moi-même, je n'avais plus rien de l'élève calme qu'il avait l'habitude de côtoyer. Je l'ai frappé, et lorsqu'il m'a attrapé les poignets pour m'empêcher de recommencer, je l'ai mordu à la gorge. Comme un chien. Et comme un chien, je n'ai pas lâché, en me faisant mal à la mâchoire au passage. J'ai mordu aussi fort que je le pouvais, il saignait et j'avais du sang dans la bouche, mais je voulais qu'il ai mal. Je voulais qu'il comprenne que je n'étais pas d'accord avec ce qu'il me disait... Je ne sais pas combien de temps je suis restée à lui arracher la peau avec mes dents, avant que l'on vienne m'attraper. On m'a conduite dans un poste de police, mes parents et mon éducateur ont été appelés. J'avais encore le sang de mon professeur sur ma bouche, et de dangereux signes de nervosité. Mon éducateur est venu près de moi, il était le seul à savoir me calmer. Il m'a demandé de lui expliquer, je lui ai expliqué. Et il m'a expliqué ce qu'il allait se passer ; le juge, le centre éducatif fermé, l'école au sein de ce centre avec un professeur particulier, peut-être pas l'opportunité de pouvoir ensuite aller à l'université. Il m'a dit que ça irai. Qu'il se battrait pour que je puisse aller à l'université. Je l'ai cru. Il m'a aussi dit que je ne devais plus attaquer qui que ce soit. Je lui ai dis que je ne contrôlais pas ça. Il m'a dit que ça irai, encore. Et je l'ai cru, encore.

Le reste de mon adolescence a alterné entre cours en effectif très réduit, psychiatre, traitements et exercices avec les éducateurs. Je suis restée sept mois en centre éducatif fermé, avant d'être placée dans un foyer d'accueil. Je pouvais rentrer chez mes parents un week-end par mois, jusqu'à mes 17 ans, même s'ils pouvaient venir me voir autant de fois qu'ils le voulaient. Moi, je m'en fichais. J'y allai quand on me disait d'y aller puis les droits d'hébergement ont été revus à un week-end sur deux. Cela ne m'a fait ni chaud, ni froid. Ma mère, elle, était contente. Je n'ai jamais vraiment su ce que pensaient mes parents. Et puis, je suis arrivée en âge de pouvoir aller à l'université. Au départ, personne n'était d'accord. Ils disaient tous que je devais bénéficier d'un programme particulier. Mais mon éducateur s'y est opposé, en disant que c'était le meilleur moyen pour aggraver les choses. Alors, ils ont trouvé un compromis. Un essai, d'une année, dans une université de la région, avec obligation de voir le psychiatre une fois par semaine et l'éducateur deux fois par semaine. J'ai accepté la proposition ; ça me permettait d'aller à l'université et c'était tout ce que je voulais.

On m'a inscrite à la Monroe University, en première année de cursus général. Mon but reste de faire du commerce. Je sais que je dois faire attention, que c'est une chance que mon éducateur m'a donné. Je ne veux pas le décevoir. Et je veux être la meilleure.
People always say that I'm...

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Behind the screen
Sinon, pour de vrai je m'appelle Marine, mais vous pouvez m'appeler Absol. J'ai 23 ans et (presque) toutes mes dents ! (: Côté présence, je pense être là 6/7 jours. J'ai connu le forum grâce à Chamya et Alice, mes deux autres bébés-coeurs de perso et depuis, ma vie a changé !
Je tiens à indiquer que les images que j'ai utilisées viennent de bazzartet que leur créateur s'appelle Blondie.


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Dernière édition par Ayanna Atkins le Mar 19 Juil - 21:39, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: Ayanna ▬ I don't feel anything. Ayanna ▬ I don't feel anything.  EmptyMar 19 Juil - 20:16

REREBIENVENUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUE !!! Ayanna ▬ I don't feel anything.  3638637074

XDD hâte de voir ce nouveau perso !

Bonne chance pour ta fichette ! :leche:
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MessageSujet: Re: Ayanna ▬ I don't feel anything. Ayanna ▬ I don't feel anything.  EmptyMar 19 Juil - 20:18

Merciiiiii. Very Happy

Ayanna ▬ I don't feel anything.  68281161
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MessageSujet: Re: Ayanna ▬ I don't feel anything. Ayanna ▬ I don't feel anything.  EmptyMar 19 Juil - 20:24

Rebienvenue ! XD
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MessageSujet: Re: Ayanna ▬ I don't feel anything. Ayanna ▬ I don't feel anything.  EmptyMar 19 Juil - 20:26

Elle est adaptable Ayanna ▬ I don't feel anything.  3320039149 désolée ça m'a trop fait rire xD
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MessageSujet: Re: Ayanna ▬ I don't feel anything. Ayanna ▬ I don't feel anything.  EmptyMar 19 Juil - 21:37

Merci Amelya ! Smile

Elijah ; xDD
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MessageSujet: Re: Ayanna ▬ I don't feel anything. Ayanna ▬ I don't feel anything.  EmptyMar 19 Juil - 22:02



Fiche validée
Bravo et bienvenue parmi nous !
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Maintenant que tu as terminé ta fiche de présentation, je suis là pour procéder à ta validation.

Ayanna ▬ I don't feel anything.  107597415 J'ai juste adoré ! *_*
Elle est terrifiante Ayanna ! Mais je suis convaincue qu'au fond d'elle se cache une fille adorable - très trèèès au fond. Ayanna ▬ I don't feel anything.  3320039149
Re-bienvenue !  Ayanna ▬ I don't feel anything.  68281161

Ce message va t'aider à mieux connaître le forum, en t'indiquant les endroits importants. T'es prêt ? On y va !

ϟ En premier lieu, je te conseille, si ce n'est pas déjà fait, d'aller compléter ton profil avec les informations de ton personnage. C'est plus sympa pour les autres membres, afin qu'ils puissent te connaître !

ϟ Ensuite, tu pourrais aller créer ta fiche de sujets & de relations. Elle permettra aux autres membres de te proposer des liens et des sujets pour t'introduire dans le RP ! Aussi, si tu le souhaites, tu peux créer un sujet de communication. Ce n'est pas obligatoire, mais c'est plus sympa, et c'est aussi une manière différente de faire avancer les RP rapidement.

ϟ Si tu souhaites tout savoir sur Sacramento, Monroe U. et le système universitaire américain, tu peux aller voir par ici. Ca grouille d'infos utiles qui te permettront de tout comprendre facilement.

ϟ Une fois ces petites choses faites, tu pourras aller consulter le Panneau d'Affichage afin de trouver un logement, un club, un job ou encore une confrérie à rejoindre. Sache que les confréries ne sont pas obligatoires. Par défaut, tu as d'ailleurs déjà été ajouté au groupe "Random Student" qui correspond à ceux qui n'ont pas encore rejoint une confrérie.

Voilà ! Après tout ça, tu pourras commencer à jouer sur le forum. Si tu as la moindre question, le moindre doute (ou même une idée farfelue) qui te passe par la tête, n'hésite pas à me contacter : je serais évidemment ravie de t'aider ! =D

Sur ce, je te souhaite une bonne continuation sur le forum ! Bisouuuus !


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Fondatrice Adulée
Kenneth B. Washington
Kenneth B. Washington
Masculin Etats-Unis
» Âge : 38
» Célébrité : Daniel Gillies
» Métier/Job : Professeur à Monroe U.
» Grade : Professeur titulaire
» Relations :
StellaMa femme. Tu partages ma vie depuis bientôt 10 ans. Je ne saurais pas vivre sans toi.

AmelyaCette soirée, ces regards échangés, ces verres partagés et ces fous rires que tu as provoqué chez moi. Tu m'as touché d'une certaine manière, et je ne parviens plus à te chasser de mes pensés...

» Points d'assiduité : 584
» A Sacramento depuis : 24/07/2012

MessageSujet: Re: Ayanna ▬ I don't feel anything. Ayanna ▬ I don't feel anything.  EmptyMer 20 Juil - 9:55

MAIS MARIIIIIIINE !!! Ayanna ▬ I don't feel anything.  285882454 Ayanna ▬ I don't feel anything.  100788031 Ayanna ▬ I don't feel anything.  2318269914 Comment t'abuse de faire des histoires pareils : à chaque fois que je lis les histoires de tes personnages, je suis en mode ""faite que ça dure encore, faites que ça dure encore" XD Inutile de dire que j'adore l'histoire de Ayanna (et on en parle de son prénom ou pas ?!Ayanna ▬ I don't feel anything.  3315963846) et que l'avatar que tu as choisi lui correspond tellement bien ! Jodelle m'a fait flippé dans Le Peuple des ténèbres & Silent Hill, j'en tremble encore... x)
Je sens que Stella va avoir une nouvelle patiente ! Ayanna ▬ I don't feel anything.  435772668Ayanna ▬ I don't feel anything.  3332342685
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MessageSujet: Re: Ayanna ▬ I don't feel anything. Ayanna ▬ I don't feel anything.  Empty

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